Après avoir été reconnu coupable de séquestration et de viol sur une élève mineure, Samaty Séssey, enseignant volontaire à l’École Primaire Publique d’Afagnan Gleta est interdit d’exercer au Togo. Arrêté, inculpé puis libéré, son sort a été scellé par une lettre envoyée aux directeurs régionaux par le Secrétaire Général du ministère des Enseignements primaire, secondaire et technique, Emmanuel Ahiya, lettre où celui-ci invitait les uns et les autres « à instruire tous les chefs d’établissements de vos ressorts pédagogiques de ne pas admettre le mis en cause comme enseignant dans le système éducatif togolais ».