« Parfois, on a besoin d’autres semences en dehors de ce que nous fournit l’organisation régionale. Alors on s’adresse aux conseillers agricoles, qui doivent s’adresser aussi à leurs supérieurs, entraînant le retard de livraison ».
« Je suis très mal à l’aise de voir les déchets plastiques dans la nature », raconte le jeune Ghanéen à la cohorte de journalistes issus de dix pays d’Afrique de l’Ouest.