Togo- Le cri du cœur de Nathaniel Olympio pour Grâce Koumayi
Dans cette tribune libre, Nathaniel Olympio, président du Parti des Togolais, rend hommage à Grâce Bikonibiyaté Koumayi, militante incarcérée dont…
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Dans cette tribune libre, Nathaniel Olympio, président du Parti des Togolais, rend hommage à Grâce Bikonibiyaté Koumayi, militante incarcérée dont…
À la suite de l’interdiction de la manifestation déclarée pour le 14 juillet en mémoire des victimes des récentes répressions, Nathaniel Olympio, porte-parole du front « Touche Pas À Ma Constitution », réagit avec fermeté.
Dans une nouvelle publication, Nathaniel Olympio, porte-parole du Front « Touche pas à ma Constitution », dresse un portrait alarmant de la situation politique au Togo. À l’approche du 25 juin, date annoncée pour une mobilisation pacifique, le pays semble à l’aube d’un tournant historique.
En marge de la journée de mobilisation contre la cherté de la vie, l’injustice et pour exiger le départ de Faure Gnassingbé du pouvoir, Nathaniel Olympio, le président du Parti des Togolais a livré un témoignage poignant sur les réseaux sociaux après avoir arpenté les rues de Lomé.
Éric Dupuy, porte-parole de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC), a réagi avec fermeté aux récentes déclarations de Nathaniel Olympio. Ce dernier accusait Jean-Pierre Fabre d’être devenu un obstacle à la lutte politique en raison de l’« incohérence de ses choix » et de la « poursuite d’intérêts partisans au détriment de l’intérêt général ».
Réagissant à cette sortie, l’acteur politique a estimé que le problème est plus profond : « Le système ne prospère pas seulement sur les querelles, mais surtout sur le mauvais leadership de l’opposition », a-t-il déclaré.
Mais depuis un quart de siècle, l’organisation semble s’être éloignée de ses objectifs initiaux. L’implication croissante dans les affaires politiques internes des États membres aurait, selon lui, marqué le début du déclin. « La CEDEAO s’est engluée dans les contorsions et compromissions politiques », déplore-t-il, évoquant comme point culminant la rupture avec le Burkina Faso, le Mali et le Niger, qui ont depuis formé l’Alliance des États du Sahel (AES).
Alors, il se sert malicieusement du panafricanisme en vogue, pour séduire les dirigeants de l’AES acculés par les sanctions et par l’antipathie de certains dirigeants de la CEDEAO.
L’objectif principal est de mieux détourner l’attention de la misère indicible dans laquelle les Togolais sont plongés depuis les 20 ans de pouvoir de Faure Gnassingbé. Et l’adhésion à l’AES mettrait son régime à l’abri des contraintes de la CEDEAO, sur le respect de l’Etat de droit et des libertés publiques.
Dans une prise de position sur son compte Facebook, le leader du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio s’est exprimé sur la gestion des sociétés d’État, notamment le port de Lomé et la société chargée de l’exploitation du phosphate.
Les européens découvrent avec effarement le rapport de force que leur impose l’administration Trump. Or, c’est ce que l’Europe a toujours exercé, ensemble avec les Etats-Unis, sur le reste du monde.
Les institutions judicaire et militaire constituent les remparts de la République contre les abus de pouvoir, les dérives des dirigeants…
13 janvier 1963, le père de l’indépendance et premier président du Togo est étendu devant l’ambassade des Etats-Unis au Togo, le corps criblé de balles. Peu de temps avant, il était caché dans une voiture à l’intérieur de la concession diplomatique. Que s’est-il réellement passé ce court instant avant les tirs mortels ?
Le Front “Touche Pas à Ma Constitution”, regroupant la Ligue Togolaise des Droits de l’Homme (LTDH), le parti Les Démocrates et le Parti des Togolais, a déposé cette semaine, un recours devant la Cour suprême du Togo. Ce recours conteste l’interdiction par le ministre de l’Administration Territoriale de la Journée de Prière et de Solidarité organisée à Sokodé en faveur des détenus politiques, dénonçant une violation des libertés publiques et une discrimination dans l’application des droits de manifestation.
Le Ministre Secrétaire Général du gouvernement Christian Trimua a déclaré récemment dans une émission qu’il n’y a aucun détenu politique…
Le gouvernement togolais a récemment publié son Cadre de Financement Durable. Un document qui définit quatorze catégories de dépenses éligibles liées aux Objectifs de Développement Durable (ODD), confirmé par S&P pour son alignement avec les normes internationales.
L’opposant togolais Nathaniel Olympio a vivement critiqué l’inaction de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et…
Nathaniel Olympio, le président du Parti des Togolais (PT), intervenant récemment sur les ondes d’une radio privée a exhorté ses collègues de l’opposition au Togo à reconnaître leurs erreurs après 30 ans d’échec politique.
Dans cette interview accordée au confrère lesnouvellesdafrique.info, le président du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio, commente les derniers développements de…
Lors d’une conférence de presse tenue ce lundi, Nathaniel Olympio, porte-parole du front « Touche Pas A Ma Constitution », également leader du Parti des Togolais a affirmé l’engagement de son organisation à libérer les prisonniers politiques actuellement détenus dans le pays.
Dans le cadre de cette affaire, un mandat d’arrêt international a également été émis contre le journaliste Ferdinand Ayité et le commandant Olivier Amah, tous deux en exil. Face à cette escalade, Nathaniel Olympio a exprimé sa consternation : « Ce régime a vraiment perdu la mesure des choses », a-t-il déclaré, fustigeant une pratique qu’il qualifie de récurrente.
Le leader du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio, s’est exprimé sur la récente reconduction de Victoire Dogbé comme Premier ministre suite à la modification de la constitution togolaise qui instaure un régime parlementaire. Selon M. Olympio, cette décision n’apporte aucun changement significatif.
“Nous disons aux Togolais que nous avons pris une nouvelle orientation dans la sincérité et dans la cohérence pour renforcer notre crédibilité”, a-t-il promis.
2005, une année de bascule pour le Togo. A la mort du général Gnassingbé Eyadéma après 38 ans de règne sans partage, son fils, Faure Gnassingbé, accapare le pouvoir par un coup d’Etat, avec le soutien de quelques généraux. Suite au tollé des Togolais, et à travers le monde, il recule, puis organise une élection frauduleuse avant de s’installer à nouveau dans le fauteuil présidentiel. Un tour de passe-passe qui ne trompe personne.
Le leader du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio s’insurge contre “l’instrumentalisation des élèves à des fins politiques”. Pour lui, ces vieilles méthodes héritées du temps du parti unique, montrent clairement que du RPT du Général Eyadéma à UNIR du fils, on est juste passé des parents aux enfants
Le leader du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio, a réagi face au drame en cours dans la ville de Sotouboua. Il appelle l’exécutif togolais à prendre ses responsabilités.
Ça y est, c’est fait ce 15 février 2024. Le Conseil constitutionnel vient de retoquer la loi votée à l’Assemblée nationale et le décret repoussant l’élection présidentielle. Le droit est dit, la Constitution est respectée. Les juges constitutionnels viennent ainsi de redonner à la démocratie au Sénégal un éclat terni ces derniers temps. La pression devrait en principe retomber.
Il y a quelques jours, en comparant le traitement salarial des médecins togolais avec celui de leurs collègues sénégalais, Dr. Gilbert Tsolenyanu a utilisé une formule choc « Notre salaire, c’est leur prime ». Cela veut tout dire. Qu’en est-il dans le département de la justice ?
L’interruption brutale du processus électoral au Sénégal en 2024 est aussi une conséquence directe de cette forfaiture togolaise cautionnée par la CEDEAO il y a vingt ans
C’est ce qui apparait selon une courte réaction du leader du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio titrée : Présidence à vie. D’après lui, des manoeuvres sont en cours pour assurer une présidence à vie à Faure Gnassingbé.
L’institution judiciaire va très mal au Togo. Rendre la justice est devenue une vente aux enchères. C’est le plus puissant qui l’emporte. Des auxiliaires de justice jusque dans les hautes sphères, la corruption a pénétré tous les services de cette administration. C’est en substance ce que disait en décembre dernier le président de la Cour suprême et président du Conseil supérieur de la magistrature (CSM), sa deuxième sortie sur le sujet – quelque peu curieuse vu son statut – en moins de deux ans. Alors, si les plus hautes autorités judicaires dénoncent souvent cette situation, pourquoi n’observe-t-on aucune amélioration depuis tant années ? Peut-être faut-il chercher du côté de la gouvernance même du pays.
Le leader politique Nathaniel Olympio dans un nouveau post a abordé les épreuves qui ont émaillés la vie de citoyens togoalais au cours de l’année 2023. Pour cette année, l’opposant appelle ses compatriotes à un sursaut décisif pour refuser le statu quo et briser les chaines de la traitrise. Ceci, en marge de l’élection présidentielle de 2025.
Encore une fois, le pouvoir togolais passe à côté de l’essentiel, en décidant de porter le nombre de députés de 91 à 117 pour les élections législatives prévues en mars prochain. Il esquive ainsi le problème posé par l’opposition – celle qui va aux prochaines élections – qui réclame en l’occurrence, et à juste titre d’ailleurs, la révision du découpage électoral.
Le régime togolais a décidé de consacrer un musée aux Nanas Benz, ces femmes de grande dignité qui ont soutenu l’Etat togolais dans les moments difficiles et qui ont été les premières ambassadrices du Togo à travers le monde.
Quand on regarde les autres pays francophones, le tableau n’est pas brillant. Le Togo détient la palme d’or avec une dictature dynastique. C’est le seul pays de la zone n’ayant jamais connu d’alternance depuis 56 ans. Le Mali, le Burkina Faso, le Niger et la Guinée, 4 pays francophones sur 8, sont empêtrés dans les turbulences des coups d’Etat militaires et leurs conséquences. Concernant la Côte d’Ivoire, elle n’a jamais connu de changement pacifique à la tête de l’Etat, depuis l’indépendance. Quant au Sénégal enfin, le seul pays à n’avoir jamais connu de coup d’Etat militaire et qui a joui de plusieurs passassions de pouvoir de manière constitutionnelle, il vient d’échapper de justesse au syndrome du 3ème mandat avec son lot de victimes. On le voit nettement, en matière de démocratie et d’alternance, les pays francophones tirent la sous-région vers le bas.
Le rapport de l’audit du fichier électoral togolais éffectué par l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) continue de faire des vagues et chacun y va de son commentaire sans compter la réaction des acteurs tant au niveau de la société civile que politiques.
Le président du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio, a réagi à nouveau sur l’affaire des 400 millions de francs CFA, dérobés au domicile du ministre d’Etat, Kodjo Adedzé. Il invite le chef de l’Etat togolais, Faure Gnassingbé à se liguer contre les scandales financiers afin de mettre de l’ordre dans son administration.
Dans une courte réaction sur sa page Facebook, le président du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio a déploré l’emprisonnement des journalistes Anani Sossou et Loïc Lawson dans l’affaire des 400 millions.
La récente sortie du député Abass Kaboua sur l’affaire des 400 millions de francs CFA dérobés au ministre de l’Habitat, Kodjo Adedzé à son domicile n’est pas une surprise. A son aise, le leader du Mouvement des Républicains Centristes (MRC) n’est pas allé du dos de la cuillière pour dézinguer l’autorité à un niveau oû l’acteur politique, Nathaniel Olympio se demande si le parlementaire est intouchable.
En raison des coups d’Etats dans certains pays de la sous-région ouest-africaine, tel un vent de changement, le leader du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio alerte sur une possible “révolution de palais” au Togo. Dans un post sur sa page Facebook, l’acteur politique invite le peuple togolais à faire preuve de vigilence.
Au Togo, l’institution militaire est la seule qui fonctionne assez correctement, avec une relative stabilité dans son organisation et dans ses structures. Même si ce n’est pas la première fois que j’affirme cela, certains seront surpris par une telle déclaration de ma part, et ils ont de bonnes raisons. Pour commencer, je donne les miennes, et elles sont factuelles.
Le tirage pour la composition des poules de la coupe d’Afrique 2024 vient d’avoir lieu hier à Abidjan, sous les yeux du monde, hélas ! sans la participation du Togo, une fois de plus. Cet événement nous donne l’occasion de jeter un regard sur ce que deviennent, dans le monde et au Togo, les grandes stars du ballon rond, après leur carrière.
On découvre subitement que l’Assemblée nationale a initié une mission d’information ou une commission d’enquête, on ne sait pas très bien pour le moment, pour mieux comprendre le scandale révélé par la Cour des comptes au sujet de l’utilisation des fonds alloués à la riposte Covid-19. A la bonne heure !
Au Togo, un député s’est-il élevé pour s’offusquer de cette pratique ?
En réalité, ce qu’il se passe au niveau de la CEDEAO et que dénonce précisément ce député, c’est que les chefs d’Etat peuvent déclarer la guerre à un pays membre de la Communauté, sans consulter le parlement de l’organisation, contrairement aux dispositions légales. Le député ne parle pas ici d’une marginalisation des députés de l’opposition. Il évoque l’ensemble du parlement de la CEDEAO.
Pour les signataires de cette tribune, « engager une nouvelle action militaire qui opposera plusieurs armées de part et d’autre, c’est recourir à un remède pire que le mal ». Lecture.
Le président du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio dans un nouveau post s’adresse encore une fois aux parlementaires togolais face à la mauvaise gouvernance du pays.
De Lomé à Kara, au sein des deux seules universités publiques du pays, le torchon brûle ces derniers temps entre présidents d’université et chercheurs. Coup sur coup, deux affaires se succèdent et défraient la chronique. Ce qui n’est pas de nature à préserver la sérénité dont ces lieux ont besoin pour la formation des futures élites du pays. Cette situation est préoccupante et affligeante. D’ailleurs, cela me renvoie à mes propres expériences et constats.
Le fléau des rackets sur les routes togolaises, Nathaniel Olympio, président du Parti des Togolais en parle dans un nouveau post. Selon lui, le phénomène serait peut-être « institutionnalisé » par les autorités du pays en raison de son influence aujourd’hui.
Cette fois-ci, ce n’est pas le Mali, ce n’est pas le Burkina non plus, c’est le Sénégal. Un pays de référence reconnu pour la solidité relative de sa démocratie en Afrique de l’Ouest. Il est même considéré comme une digue démocratique de la sous-région. Ça l’est en effet, au regard de la succession des forcings constitutionnels ouvrant la voie aux 3e et 4e mandats, comme au Togo où Faure Gnassingbé a eu la malheureuse idée d’initier cette pratique, en Côte d’Ivoire et en Guinée.
Brider un artiste, c’est tuer les artistes. Il faut plutôt leur offrir un cadre d’épanouissement. Un artiste, c’est la liberté d’exprimer son art, comme il le ressent, comme il le vit, dans le fond de son cœur et dans ses tripes. L’artiste, c’est le public qui l’adopte, lui et son art, ou qui rejette tout.
Le leader du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio apprécie les prestations au sein du Service des passeports togolais. L’acteur politique dans une réaction sur sa page Facebook, a encouragé le service à redoubler d’efforts pour répondre à d’autres besoins. Il estime d’ailleurs que “Si l’administration évolue timidement dans le bon sens, il n’y a donc pas de raison qu’au niveau politique les choses restent en l’Etat”.
Un nouveau coup de massue sur la tête de la presse togolaise. C’est ce qu’il se passe avec la condamnation de deux journalistes à la prison ferme ce 15 mars 2023. Ferdinand Ayité, directeur de publication et Isidore Kouwonou, rédacteur en chef, deux dirigeants du bihebdomadaire « L’Alternative », sont frappés par une décision de justice leur ouvrant les portes de la prison pour 36 mois.
S’achemine-t-on vers l’interdiction de partis politiques de l’opposition ? La question a suscité une réaction du leader du Parti des togolais, Nathaniel Olympio. Sur sa page Facebook, l’opposant au régime de Faure Gnassingbé a clairement indiqué que “Une chose est certaine, le pouvoir ne veut plus de certains partis dans le paysage politique”. A l’en croire, cette condition ne fera que faciliter davantage la construction de la lutte citoyenne.
En fin de semaine, le chef de l’Etat togolais Faure Gnassingbé a procédé à un remaniement de son gouvernement. Il a limogé la ministre des Armées, Marguerite Essossimna Gnakadè, rattaché directement ce portefeuille à la présidence et nommé dans la foulée un nouveau chef d’état-major des Forces armées togolaises.
Nathaniel Olympio, président du Parti des Togolais est préocuppé par le sort des militaires victimes du terrorisme. Dans un récent post sur sa page Facebook, le politique invite le pouvoir public à faire plus pour la prise en charge des soldats devenus handicapés à vie ainsi que le traitement de ceux qui sont blessés.
Le président du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio rend hommage aux soldats tombés dans une violente affrontement contre des hommes armés jeudi dernier à Tiwali au nord du Togo.
En marge du 38e Sommet de la francophonie qui s’est tenu à Djerba au Maroc, le ministre des Affaires étrangères Robert Dussey dans une interview accordée au confrère RFI affirmait que le Togo est l’un des pays démocratiques de la sous-région.
Une condamnation de suspension de trois mois de parution privera les Togolais de leur quotidien « Liberté ». Et une amende de 12 millions ne peut pas être pour une autre raison que pour asphyxier le journal, quand on connait les revenus des médias. C’est la décision prise par la justice pour sanctionner le journal, suite à un article sur lequel le journal est d’ailleurs revenu et présenté ses excuses. L’article portait sur un incident ayant provoqué la mort d’une personne et mettait en cause le convoi de la Première ministre.
Le prix des produits s’envole. Bientôt, le gaz sera réservé aux gens qui habitent les quartiers chics comme cité OUA, tellement le prix augmente. A cette allure, on va tous retourner au feu de bois.
S’endetter semble devenir un sport favori qu’affectionne l’Etat togolais, déplore Nathaniel Olympio, le président du Parti des Togolais, une formation politique de l’opposition dans le pays.
En juin 2020, le Journal L’Alternative révèle un scandale de corruption de 500 milliards cfa, en citant clairement des noms. La justice a poursuivi le journal et le directeur de publication. La justice a même condamné le Journal L’Alternative et son directeur de publication, Ferdinand Ayité.