Togo- Crise politique : Échanges entre la Secrétaire générale du Commonwealth et l’opposition
En visite à Lomé, la Secrétaire générale du Commonwealth, Mme Patricia Scotland, a rencontré une délégation des leaders politiques de…
En visite à Lomé, la Secrétaire générale du Commonwealth, Mme Patricia Scotland, a rencontré une délégation des leaders politiques de…
Ça fait plus de trois décennies que ça dure, la lutte contre le régime de dictature Gnassingbé, menée par des…
Des organisations de la société civile ont tenu un grand meeting hier dimanche 26 mai à Lomé, plus précisément à Bè-Kondjindji pour dénoncer la nouvelle constitution promulguée le 6 mai dernier par le chef de l’Etat Faure Gnassingbé. Jean-Pierre Fabre, le président de de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) et Paul Dodji Apevon des Forces Démocratiques pour la République (FDR) ont assisté à cette manifestation.
Même avec seulement cinq députés à l’hémicycle, Mme Adjamagbo-Johnson est fermement convaincue que l’opposition pourra mener le combat face à la majorité écrasante d’UNIR, qui détient 108 sièges. La députée de la DMP semble lancer un appel à ses « collègues » de l’opposition, notamment de l’ANC et des FDR, les invitant à regagner leurs sièges au parlement pour poursuivre la lutte.
Devant la presse mardi à Lomé, les responsables de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) ont dénoncé les nombreuses irrégularités observées lors du double scrutin du 29 avril dernier. Bourrages d’urnes, violences, manipulations des résultats… Ce sont, entre autres, les faits relevés par Jean-Pierre Fabre et ses collaborateurs au cours de ce qu’ils appellent une « mascarade électorale ». Lire la déclaration liminaire de la conférence presse.
Dans une note réponse au Col. Awaté Hodabalo, ministre en charge de l’Administration territoriale, les responsables de ANC, ADDI, PSR, FCTD et FDR maintiennent leurs manifestations de protestation contre le changement constitutionnel, prévues ces 12 et 13 avril prochains à Lomé. Lecture
Comme un dernier coup avant de rendre leur tablier, les députés de la législature 2018 – 2023 ont procédé au changement complet de ce qui reste de l’esprit de la Constitution adoptée en référendum par le peuple togolais en 1992. Le moment choisi pour opérer une telle opération n’est certainement pas anodine quand on sait que des élections sont prévues dans moins d’un mois.
Depuis que le bruit court que les députés du régime, en fin de mandat depuis le 31 décembre 2023, orchestrent en catimini un charcutage de la Constitution à l’Assemblée nationale, l’opposition, la vraie, dans son ensemble, n’a pas manqué de hausser le ton pour dénoncer la forfaiture. À en croire les indiscrétions, des concertations sont en cours pour former un bloc afin de faire barrage à ce nouveau coup d’État constitutionnel du régime.
Dr. Albert Kate a abordé la question ce week-end lors de l’émission « Avis de la diaspora » sur la chaîne YouTube « Afro Web Tv ». Il a partagé ses réflexions et analyses sur la situation sociopolitique actuelle au Togo, offrant ainsi des éléments de réponse.Dr. Albert Kate a abordé la question ce week-end lors de l’émission « Avis de la diaspora » sur la chaîne YouTube « Afro Web Tv ». Il a partagé ses réflexions et analyses sur la situation sociopolitique actuelle au Togo, offrant ainsi des éléments de réponse.
Dans une déclaration, des organisations de la société civile se prononcent sur l’actualité sociopolitique togolaise. Elles alertent la communauté internationale sur le danger permanent qui pèse sur l’intégrité physique et la vie des populations, des opposants et des défenseurs des droits humains.