Togo : Une Opposition Paresseuse
Face à une féroce dictature, l’opposition togolaise se révèle enfin: une Ligue Mineure de Paresseux incapables de faire face à la réalité de la situation du Togo.
Le portail togolais par excellence!
Face à une féroce dictature, l’opposition togolaise se révèle enfin: une Ligue Mineure de Paresseux incapables de faire face à la réalité de la situation du Togo.
«…A moins d’un retournement de situation, à moins d’un miracle, la majorité les Togolais iront remplir leurs devoirs d’honnêtes citoyens dans les urnes. Mais est-ce l’urgence, est-ce ce qui préoccupe les Togolais empêtrés plus que jamais dans la gadoue d’une crise économique toujours aussi dévastatrice? Pourquoi cet acharnement à privilégier le politique au détriment du social…?»Voilà un extrait du journal «Le Correcteur» de mars 2023
Les prochaines élections législatives et régionales au Togo sont en train de sonner le glas de l’union sacrée entre Agbéyomé Kodjo, candidat providentiel à l’élection présidentielle de 2020, et le reste du regroupement mis en place par Monseigneur Kpodzro sous la dénomination « Dynamique Monseigneur Kpodzro (DMK) », et chapeauté par Mme Brigitte Adjamagbo. Mais au-delà de l’ex DMK, deux courants s’observent au sein de l’opposition togolaise : le courant des exilés pour le boycott et celui des résidents pour la participation.
Le discours que tiennent certains leaders de partis politiques d’opposition tend à corroborer la thèse de l’échec du combat politique pour aboutir à une alternance au Togo. Cet échec imputé justement aux « opposants » semble conduire ceux-ci à en appeler à des « mouvements » citoyens apolitiques pour contraindre le camp présidentiel à lâcher du lest.
En conférence de presse vendredi à Lomé, les responsables de la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) se sont prononcés sur les prochaines élections régionales et législatives. Ils prévoient approcher toutes forces démocratiques du pays pour faire pression sur le régime en vue des élections démocratiques, transparentes et inclusives.
Plusieurs partis politiques d’opposition notamment se sont réunis, en ce premier trimestre de l’année 2023, en congrès ordinaire comme le prévoient leurs statuts. Ces évènements ont presque tous abouti à des conclusions appelant l’opposition s’unir commune contre le pouvoir exercé par « Unir », parti au pouvoir.
Le président du Parti des Togolais (opposition) était hier 29 janvier 2023, l’invité de l’émission D12 sur Pyramide FM. Nathaniel Olympio s’est prononcé sur plusieurs sujets de l’actualité. Voici quelques extraits de son intervention.
Au Togo, l’opposition est en proie depuis des décennies à une guerre de leadership. Toutes les initiatives de regroupement ont été sans succès. La dernière en date est celle de la coalition des 14. Les séquelles de son éclatement sont encore visibles. Et nombreux sont ceux qui se demandent si l’opposition togolais pourra-t-elle encore un jour se réunir pour mener ensemble une action ?
Le 8 janvier 2023, le peuple béninois s’est rendu aux urnes pour le compte des élections législatives. Un scrutin au…
Ancien bras droit de Tikpi Atchadam, Ouro-Djikpa a pris sa liberté ce n’est pas pour autant que l’homme a perdu la hargne de se battre pour l’avènement de l’alternance au Togo et son franc-parler. Au cours d’une conférence de presse organisée dans le cadre de la célébration du 60ème anniversaire de l’assassinat du Père de l’Indépendance, l’homme est encore revenu sur les questions brûlantes. Lecture…
Le duo Nicodème Habia – Ouro-Djikpa Tchatikpi a animé une conférence de presse ce samedi pour commémorer le 60em anniversaire de l’assassinat du père de la Nation, le Président Sylvanus Olympio. Une rencontre qui a aussi vu la présence des premiers responsables de la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK). L’occasion pour le binôme qui se réclame acteurs de la vie sociopolitique togolaise, d’inviter une fois encore l’opposition à l’unicité d’action pour relancer la lutte. Un nouveau départ est encore possible en 2023, soutiennent Nicodème Habia et Ouro-Djikpa Tchatikpi.
Intervenant récemment sur un média de la place, Togbui Sylvain Ayivon-Dagban, carde du Comité d’Action pour Renouveau (CAR), a laissé entendre que sa formation politique fait une descente aux enfers.
S’achemine-t-on vers l’interdiction de partis politiques de l’opposition ? La question a suscité une réaction du leader du Parti des togolais, Nathaniel Olympio. Sur sa page Facebook, l’opposant au régime de Faure Gnassingbé a clairement indiqué que “Une chose est certaine, le pouvoir ne veut plus de certains partis dans le paysage politique”. A l’en croire, cette condition ne fera que faciliter davantage la construction de la lutte citoyenne.
Le mouvement “Tournons La Page” continue de mettre le projecteur sur le régime des Gnassingbé qui fait de la répression une tradition. Dans une vidéo publiée sur son compte YouTube, le mouvement donne plus de visibilité aux violations des droits humains au Togo.
Tribune libre de professeur Togoata Apedo-Amah. L’universitaire lance un appel aux forces démocratiques de l’opposition togolaise. Il les invite à sortir de leur coma profond et à remobiliser le peuple pour le changement. Lecture.
En marge du 38e Sommet de la francophonie qui s’est tenu à Djerba au Maroc, le ministre des Affaires étrangères Robert Dussey dans une interview accordée au confrère RFI affirmait que le Togo est l’un des pays démocratiques de la sous-région.
« La plus grande faiblesse de l’opposition togolaise, c’est le manque de moyens ; elle n’a pas d’argent, sinon il y a longtemps qu’elle aurait mis fin à ce régime. » Auteur anonyme, groupe de discussions politiques sur WhatsApp.
Le Togo n’est pas seulement malade de ses dirigeants. Il est aussi souffrant de son opposition. Malgré les difficultés liées au quotidien du peuple togolais qui s’est toujours battu à ses côtés pour sa libération, la classe politique de l’opposition est comme plongée dans un profond sommeil.
Zèle pathologique démesuré, égoïsme sans borne, méchanceté inégalée…Voilà quelques traits caractéristiques de la plupart des préfets à la solde du régime de Lomé II. Ces dernières années, ces vassaux du pouvoir cinquantenaire ont tristement développé une très vilaine habitude anticonstitutionnelle. Celle d’interdire toute forme d’activités politiques de l’opposition dans leur ressort territorial respectif.
Peut-on encore vraiment parler de l´opposition togolaise? En existe-t-il encore une? Pour plusieurs raisons, beaucoup de ceux qui se sont engagés pour parler au nom du peuple et se battre pour la fin de la dictature, à un moment donné, avaient commencé à s´occuper de leurs chapelles personnelles. Nous pouvons aujourd´hui dire sans nous tromper que la deuxième génération de l´opposition togolaise a du plomb dans l´aile.
«…tant que ce système prévaudra, nul n´en sera épargné au Togo; il broyera jusqu´au dernier de ses enfants-sujets, partisan ou indifférent. Peu importe, la vérité des faits est et elle restera sacrificielle en permanence, dans ce Togo-là…»
Le gouvernement et la classe politique ont échangé, jeudi passé, sur la problématique du terrorisme. A l’occasion, les participants ont formulé de « nombreuses contributions très intéressantes », selon le gouvernement, pour endiguer le fléau et au niveau de l’Exécutif, on promet en tenir compte. Mais cette rencontre aura mis une fois de plus en exergue le mépris du « médiateur » dans la crise malienne pour la classe politique togolaise et été l’objet d’instrumentalisation par le pouvoir.
Pourquoi Victoire Tomégah Dogbé plutôt que Faure Gnassingbé lui-même? Si ce n’est pas un mépris pour l’opposition, alors cela s’apparente à un manque de courage politique. À cette allure, « l’alliance nationale » contre le terrorisme commence mal.
Au lendemain des récentes attaques terroristes qui ont endeuillé le Togo, l’opinion nationale a appelé à une concertation par le Chef de l’Etat de toutes les forces vives du pays, spécialement les « opposants politiques » au parti au pouvoir. Pour une fois que l’exécutif se montre attentif, le mode opératoire laisse quelque peu désirer. Le gouvernement ne démord pas de son attitude condescendante.
Musellement de l’opinion, obstacles à l’exercice des activités des organisations de la société civile, interdiction des manifestations publiques pacifiques, maintien de l’Etat d’urgence sanitaire malgré la fin de la maladie à coronavirus, composition des institutions de la République, contrôle des pouvoirs législatifs et judiciaires par l’Exécutif, armée non républicaine, verrouillage du système électoral… tous les ingrédients sont réunis pour un long règne de Faure Gnassingbé.
Le paysage politique togolais est maussade. Et c’est peu dire ! Toute la classe politique togolaise, autant le parti au pouvoir UNIR que ceux de l’opposition, se la coule douce en attendant les prochaines échéances électorales pour bluffer une population désenchantée.
Six (06) formations de l’opposition, préoccupées par la récurrence des attaques terroristes au Togo, appellent, dans un communiqué conjoint rendu public ce mercredi, les autorités à faire du combat contre ce fléau une affaire nationale et à impliquer toutes les composantes de la société togolaise.
Depuis quelques semaines, la Dynamique Monseigneur Kpodzro (DMK) multiplie les démarches administratives et les conférences de presse aux fins de tenir une manifestation publique à Lomé. Elle semble être esseulée dans cette initiative face aux interdictions constantes du régime en place, les autres partis politiques étant muets.
Après avoir réussi à créer une crise politique majeure au Togo en août 2017, Tikpi Atchadam, président du Parti national panafricain (PNP), prétextant que sa vie était en danger, avait disparu de la scène politique. Et jusqu’à ce jour, il n’est plus réapparu. Beaucoup de personnes se demandent si sa vie est toujours en danger. Ou, s’il s’agissait juste d’un passage éphémère sur la scène politique togolaise.
Selon les résultats de la dernière enquête Afrobaromètre, la majorité des Togolais pensent que la présence des partis politiques de l’opposition sur la scène politique est importante, mais au même moment disent qu’ils n’ont pas confiance en eux.
La vieillesse n’est pas synonyme de sagesse ; même les idiots vieillissent. On a eu la preuve jeudi dernier lors du lancement des activités des dix ans du parti au pouvoir. Emporté par le déni de la réalité, le président du mouvement des sages UNIR déclare qu’il n’y a pas d’opposition constructive au Togo.
Le confrère Ferdinand Ayité n’est plus à présenter. Dans l’émission “L’Autre Journal” N°103, la 3ème partie, publiée sur sa chaîne YouTube, le Directeur de publication du bihebdomadaire d’investigation “L’Alternative” se prononce sur la situation sociopolitique actuelle du pays.
Le duo Nicodème Habia_Ouro-Djikpa Tchatikpi continue de lancer la mobilisation pour la reprise de la lutte. Dans une déclaration, les deux acteurs de la vie sociopolitique togolaise dénoncent « la gouvernance hasardeuse, inique et catastrophique du régime RPT-UNIR ». Ils invitent à « se lever pour la combattre, et rester vent debout pour conclure la lutte ».
L’opposition togolaise a abandonné. Ces propos du Président des sages (sic) UNIR, Charles Kondi Agba, jeudi dernier dans le cadre de la célébration du 10 anniversaire de l’Union pour la République (UNIR), la tôlerie peinture du Rassemblement du peuple togolais (RPT), résonnent encore dans des têtes. Dans certains milieux, ils sont même vécus comme une provocation en règle à l’endroit de ces hommes et femmes qui, à leur corps défendant et avec les moyens du bord, essaient d’entretenir la flamme de la contestation et la maintenance de l’opposition. Pas du tout à tort, lorsqu’on considère la part de responsabilité et les misères faites aux opposants et/ou simples contestataires du régime de façon générale.
Claude Améganvi du Parti des Travailleurs était à la conférence de presse animée la semaine dernière par les Femmes Pyramide. L’opposant a profité de l’occasion pour se prononcer sur la situation sociopolitique du pays.
Samedi dernier, le président du parti des Togolais, Nathaniel Olympio est intervenu sur la récente sortie de Charles Kondi Agba à l’occasion des 10 ans du parti ou pouvoir. Et au cours de cette célébration, le président des Sages de l’Union pour la République (UNIR) a abordé la situation politique du pays. Pour l’ancien ministre, il n’y a plus d’opposition au Togo. A l’en croire, l’entité a abandonné la lutte. Des propos qui font dire à l’opposant togolais Nathaniel Olympio que le pays a atteint le paroxysme avec le régime.
Il semblerait, selon toute vraisemblance, que Charles Kondi Agba, un des ténors de l’échelle de sagesse de UNIR, parti gouvernant notre pays, aurait fait une déclaration fracassante selon laquelle, il n’existerait pas ou plus, d’opposition constructive dans notre pays.
Après 2 ans de deuil, le Comité d’Action pour le Renouveau (CAR) revient sur la scène politique togolaise. Le parti du feu Me Agboyigbo a fait sa rentrée politique dimanche à travers une conférence de presse. Elections régionales, état de droit et les libertés publiques, décentralisation, gestion de la pandémie de Covid-19 et la corruption sont les grandes lignes qui ont illustré la déclaration liminaire de cette rentrée. Le CAR lance, par ailleurs, un appel aux forces vives de la nation pour la résistance.
Un autre Gnassingbé en passe de s’octroyer le pouvoir à vie ? Cette question taraude l’esprit des Togolais depuis un moment. Le modèle de gouvernance, depuis l’insurrection populaire menée par le Parti national Panafricain (PNP) de Tikpi Atchadam, et l’élection présidentielle contestée de février 2022, donne une similitude entre les méthodes utilisées par le régime de Faure Gnassingbé et celui de son père dans les années sombres de la dictature au Togo.
Dans une lettre ouverte adressée au chef de l’Etat, les opposants Nicodème Habia et Ouro-Djikpa Tchatikpi exigent la libération sans conditions de tous les détenus politiques et d’opinion du pays. Lisez plutôt!
Dans un communiqué, le Réseau de la Coordination de la Diaspora Togolaise Indépendante (RCDTI) et le Collectif pour la Vérité des Urnes – Togo – Diaspora (CVU-Togo-Diaspora) se prononcent sur la situation sociopolitique du pays. Ces deux associations invitent les Togolais à réorienter la lutte pour dégager le régime de Faure Gnassingbé. Lecture.
Elle reste dans la forme et la manière, l’une des élections présidentielles la plus discutée sur la « Terre de nos Aïeux ». Car, même lâché par certains de ses collègues de l’opposition, Dr Gabriel Agbéyomé Messan Kodjo, le leader de la DMK n’a cessé de crier sa victoire, refusant depuis plus de deux ans de concéder une quelconque défaite : « Je suis le seul président démocratiquement élu du Togo », martèle-t-il depuis le 22 février 2020.
Au Togo, la question de l’union de l’opposition refait surface. Dans son message de vœux de nouvel an, Mme Adjamagbo-Johnson aussi en parle.
Dans une interview accordée au bimensuel d’informations « L’Intelligent », l’opposant Jean-Pierre Fabre se prononce sur la situation sociopolitique du Togo. Le président de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) revient sur les grands maux qui minent l’opposition togolaise. Il met aussi en garde le régime RPT-UNIR. « A l’orée de cette année nouvelle, je voudrais demander aux populations togolaises de ne pas perdre espoir. L’alternance politique tant souhaitée est toujours possible dans notre pays. Mais la mobilisation doit se préparer. Le boulevard que le RPT/UNIR voit devant lui, peut n’être qu’un mirage et se transformer subitement en sentier », a indiqué Monsieur le Maire du Golfe 4. Lecture.
L’union de l’opposition est-elle encore possible après les lendemains tumultueux de l’élection présidentielle de 2020 ? C’est la question qui a été posée à l’opposant Pr Komi Wolou du Pacte Socialiste pour Renouveau (PSR) dans une interview réalisée par le confrère « L’Intelligent » dans sa parution N°18 du 15 décembre 2021. L’universitaire croit encore à une unicité d’action de l’opposition, mais estime qu’il faut en finir avec les « injures contre productives ». Lisez plutôt!
La CPP prône l’unicité d’action de l’opposition. C’est le vœu formulé par la Convergence patriotique panafricaine (CPP) à l’aurore de la nouvelle année. En tant que parti politique de l’opposition, la CPP dans son message de nouvel an, a invité ses pairs à l’unicité d’action. Car selon la formation politique de Adrien Beleki AKOUETE, “la gouvernance partagée a la vertu d’être inclusive et de créer une participation constructive”.
On ne le dira jamais assez. Depuis la présidentielle de 2020, la classe politique de l’opposition togolaise est devenue un véritable panier de crabes. Sur la toile, les insultes et les accusations entre leaders ou militants interposés deviennent de plus en plus fréquents. Dans un message adressé à ses collègues, l’opposant Aimé Gogué de l’Alliance des Démocrates pour un Développement Intégral (ADDI) appelle à la retenue. Il invite tous les leaders de l’opposition togolais à méditer les propos du Béninois Me Robert Dossou en vue d’une rationalisation de la lutte pour l’alternance et la démocratie au Togo.
Le champ politique togolais est marqué par une certaine forme de morosité qui se comprend aisément. Les leaders politiques traditionnels, tels qu’ils sont connus dans notre pays sont essoufflés par plusieurs années de combats infructueux qui donnent malheureusement le sentiment d’un véritable coup d’épée dans l’eau.
26 Novembre 2016 – 26 Novembre 2021. Voilà exactement 5 ans que le parti les Forces Démocratiques pour la République (FDR) a fait son entrée sur la scène politique togolaise. Dimanche, pour marquer ce jubilé de bois, le Bureau national de cette formation politique de l’opposition et les présidents des fédérations se sont réunis à Lomé pour dresser le bilan de ces 5 ans d’existence du parti et projeter de nouvelles perspectives.
Depuis la présidentielle de 2020, l’on assiste à des interpellations tous azimuts des leaders et responsables politiques. Le dernier cas en date est celui de l’activiste Jean-Paul Oumolou. Dans une réaction sur sa page Facebook, Nathaniel Olympio invite les forces démocratiques de l’opposition à aller au-delà des dénonciations.
Dans une déclaration rendue publique dans le cadre de la commémoration du 05 octobre 1990, l’opposant Claude Améganvi du Parti des Travailleurs invite les forces démocratiques de la nation à « s’unir pour chasser du poulailler le renard (Faure Gnassingbé, ndlr) qui s’y est introduit avant qu’il ne mange les poussins et de régler par la suite les différends qu’ils peuvent avoir entre eux » .
Le président de la Convergence Patriotique Panafricaine (CPP) désapprouve la manière dont la politique se fait au Togo. Adrien Béléki réprouve l’esprit de division qui domine l’opposition togolaise.
La plus grande bourde du siècle commise par l’opposition togolaise réunie au sein de la Coalition des 14, c’est le boycott des législatives de 2018. Alors qu’ils avaient toutes les cartes en main, les responsables de la C14 ont finalement boudé cette élection, ouvrant grandement le boulevard au régime qui contrôle aujourd’hui l’hémicycle avec le soutien de ses partis satellites.
Décidément, le président national de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) ne veut pas passer l’éponge. L’opposant taxé de « traître et de Judas » en veut toujours à Mgr Kpodzro.
La lutte politique au Togo est au point mort depuis quelques mois déjà. Pas de manifestations, plus de revendication du peuple. C’est à croire que les Togolais sont finalement fatigués du combat politique enclenché depuis les années 90. Nombreux sont ces observateurs qui accusent les leaders politiques de l’opposition d’être à l’origine de cette démobilisation populaire. Et c’est à juste titre. Mais tout n’est pas encore fini, rassure Nathaniel Olympio.
Le premier responsable du Pacte Socialiste pour le Renouveau (PSR) dénonce la décision du tribunal de Lomé dans l’affaire Djimon Oré. Prof. Komi Wolou pense que la sentence est trop lourde pour une affaire purement politique.
Le parti « Les Démocrates » vient de réagir à l’arrestation « arbitraire » du sieur Paul Missiagbéto, le 17 mai dernier, par les éléments de la gendarmerie. Il ne passe pas sous silence la condamnation de l’opposant Djimon Oré.
Me Dodji Apévon, président des Forces Démocratiques pour la République (FDR) a l’invité samedi dans l’émission « Rétro 7 » sur la radio Victoire FM. Suivez l’émission dans son intégralité!
Intervenant ce lundi matin sur la radio Victoire FM, Antoine Folly de l’Union des démocrates socialistes du Togo (UDS-Togo) a lancé un appel à ses collègues de l’opposition togolaise. Ils les a invités à privilégier une action unitaire pour conclure l’alternance politique au Togo.