En conférence de presse samedi à Lomé, le président du parti « Les Démocrates » a exprimé son inquiétude par rapport aux prisonniers politiques du pays. Nicodème Habia promet de faire pire qu’un « grève de la faim » pour obtenir leur libération.
Les 46 soldats ivoiriens condamnés le 30 décembre 2022 à 20 ans de réclusion criminelle par un tribunal de Bamako, ont été finalement graciés par les autorités maliennes.
Pour cette nouvelle année qui s'annonce , Prof Togoata APEDO-AMAH souhaite la mise en liberté de tous les prisonniers politiques et d'opinion. L'universitaire togolais à travers un nouveau post, tacle le régime togolais qui selon lui a visiblement peur d'une opposition démocratique libre.
La question des prisonniers politiques préoccupe l’opposant Nathaniel Olympio. En cette période de fête de Noël, le vœu ultime du président du Parti des Togolais est de voir tous les détenus politiques du pays libérer.
Le Professeur Ayayi Togoata APEDO-AMAH, dénonce les querelles picrocholines de l'opposition politique togolaise dont le jeu stérile est contreproductif pour la défense des intérêts du peuple togolais qui subit de plein fouet une crise sociale très dure. Il suggère de fédérer les énergies dans une lutte commune pour la libération des nombreux prisonniers politiques qui peuplent les prisons du Togo.
Le sort des "prisonniers d’opinion" préoccupe le leader du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio. Dans un post en date du 17 décembre 2022, il exige la libération de ces derniers en car dit-il : "On ne peut pas faire de l’exercice du pouvoir, l’incarnation d’une brutalité excessive".
Maintes fois, les autorités togolaises ont été sommées de fermer définitivement la prison civile de Lomé. Raison, ce cachot ne répond pas aux standards internationaux. Seulement, le gouvernement togolais n’en a cure.
Prisonniers politiques jusqu´à ce que mort s´ensuive? Un tel titre n´aurait pas été exagéré, vu la situation lamentable dans laquelle se débattent beaucoup de nos compatriotes, hommes et femmes, depuis plusieurs années, contre la solitude, la maladie, les conditions de détention et surtout contre l´incertitude du sort que leur réservent les tenants du pouvoir politique au Togo.
L´information inattendue tombe jeudi dernier dans la soirée sur les réseaux sociaux: une grâce présidentielle serait accordée à des prisonniers qui pourraient immédiatement quitter les différentes maisons d´arrêt sur toute l´étendue du territoire togolais où ils purgeaient leurs peines.
Dans un communiqué, la Coalition de la diaspora togolaise pour l'alternance et la démocratie (CODITOGO) dénonce le parjure et l’abus d’autorité du Procureur général Blaise Essolisam Poyodi et demande la libération des nommés ALFA Ibrahim, SEBABE GUEFFE Tchah et BOUKARI Abdoul Razak arbitrairement maintenus en détention à la prison civile de Lomé.