Les quatre Nigérians comparaissaient depuis le 19 septembre pour avoir recruté, sur de fausses promesses d'emploi ou d'études, des jeunes filles parfois mineures au Nigeria, avoir organisé leur périlleux voyage vers la France, où une fois arrivées, elles ont été forcées à se prostituer au Bois de Vincennes.
L’affaire fait grand bruit et tous, humains que nous sommes, Africains que nous sommes, sommes scandalisés par les images et les vidéos qui circulent sur la toile auxquelles le nom Porta Potty a été donné.