Togo- Il est temps de réfléchir et d’agir
Dans une tribune publiée ce 10 avril 2025, Francis Pedro Amuzun, membre de l’ANC, lance un appel urgent à la…
Le portail togolais par excellence!
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La Constitution de la quatrième République, toujours en vigueur, offre au peuple togolais une panoplie de moyens pour combattre toute…
Chers compatriotes, Chers militants de la Démocratie, En ce jour commémoratif du 34 è anniversaire du soulèvement populaire du 5…
Le pouvoir RPT/UNIR ne cesse de ternir l’image de notre pays, de ridiculiser et d’humilier le Togo et le peuple…
Comme un dernier coup avant de rendre leur tablier, les députés de la législature 2018 – 2023 ont procédé au changement complet de ce qui reste de l’esprit de la Constitution adoptée en référendum par le peuple togolais en 1992. Le moment choisi pour opérer une telle opération n’est certainement pas anodine quand on sait que des élections sont prévues dans moins d’un mois.
L’idée que le Togo puisse être cité comme un modèle de démocratie moderne en Afrique s’étiole au rythme de la volonté de conservation du pouvoir du régime RPT/UNIR. Le projet de toilettage constitutionnel mis en branle par les soutiens de Faure Gnassingbé rame à contre sens des idéaux démocratiques.
Fidèle à sa posture méprisante vis-à-vis du peuple togolais, le régime de Faure Gnassingbé n’en finit plus de surprendre. Acclamé à l’international, il représente pour bien des Togolais une chape de plomb. La libération de Salem Bazoum est la preuve, s’il en fallait une supplémentaire, que la politique propagandiste de Faure Gnassingbé a de beaux jours devant elles. De quoi faire suer à grosses gouttes des citoyens de plus en plus à l’étroit.
Dans son message de vœux pour le nouvel an, le président national de l’Alliance Nationale pour le Changement invite les Togolais à rester déterminés en vue « d’une mobilisation générale décisive, dans un grand mouvement citoyen de libération nationale » en 2023.
Le Togo n’est pas seulement malade de ses dirigeants. Il est aussi souffrant de son opposition. Malgré les difficultés liées au quotidien du peuple togolais qui s’est toujours battu à ses côtés pour sa libération, la classe politique de l’opposition est comme plongée dans un profond sommeil.
Le duo Nicodème Habia_Ouro-Djikpa Tchatikpi continue de lancer la mobilisation pour la reprise de la lutte. Dans une déclaration, les deux acteurs de la vie sociopolitique togolaise dénoncent « la gouvernance hasardeuse, inique et catastrophique du régime RPT-UNIR ». Ils invitent à « se lever pour la combattre, et rester vent debout pour conclure la lutte ».
L’opposition togolaise a abandonné. Ces propos du Président des sages (sic) UNIR, Charles Kondi Agba, jeudi dernier dans le cadre de la célébration du 10 anniversaire de l’Union pour la République (UNIR), la tôlerie peinture du Rassemblement du peuple togolais (RPT), résonnent encore dans des têtes. Dans certains milieux, ils sont même vécus comme une provocation en règle à l’endroit de ces hommes et femmes qui, à leur corps défendant et avec les moyens du bord, essaient d’entretenir la flamme de la contestation et la maintenance de l’opposition. Pas du tout à tort, lorsqu’on considère la part de responsabilité et les misères faites aux opposants et/ou simples contestataires du régime de façon générale.
Au Togo, expoitant la misère et la détresse des populations affamées et appauvries par des décennies de gabegie, les cadres du régime n’hésitent pas à sillonner le Togo profond à grands renforts de publicité pour faire des dons, jeter quelques miettes aux populations au nom de Faure Gnassingbé.
Les acteurs politiques togolais -pouvoir et opposition- se sont toujours entendus pour ne jamais s’entendre. Le dernier dialogue, le Cadre permanent de concertation (CPC), initié par le régime pour, dit-on, discuter des questions sociopolitiques, sanitaires et environnementales, de l’extrémisme violent, de la situation économique, des droits de l’Homme, et boudé par les leaders des formations politiques représentatatives du pays en est la preuve.
L’ancien nouveau parti unique et parti Etat, UNIR, qui domine exagérément la vie politique depuis 55 ans, hostile au changement, au progrès et aux valeurs de démocratie et d’alternance, a une curieuse conception de la démocratie.
Dans une interview accordée au bimensuel d’informations « L’Intelligent », l’opposant Jean-Pierre Fabre se prononce sur la situation sociopolitique du Togo. Le président de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) revient sur les grands maux qui minent l’opposition togolaise. Il met aussi en garde le régime RPT-UNIR. « A l’orée de cette année nouvelle, je voudrais demander aux populations togolaises de ne pas perdre espoir. L’alternance politique tant souhaitée est toujours possible dans notre pays. Mais la mobilisation doit se préparer. Le boulevard que le RPT/UNIR voit devant lui, peut n’être qu’un mirage et se transformer subitement en sentier », a indiqué Monsieur le Maire du Golfe 4. Lecture.
Kéliba Amadou Kassimou est le septième détenu mort en détention dans l’affaire Tigre Révolution. Ce chiffre inquiétant n’est que la révélation de la bestialité de la politique sous le régime RPT/UNIR. Ce drame confirme également les allégations de tortures soutenues par les détenus, mais démontre les mauvaises conditions de détention.
Le champ politique togolais est marqué par une certaine forme de morosité qui se comprend aisément. Les leaders politiques traditionnels, tels qu’ils sont connus dans notre pays sont essoufflés par plusieurs années de combats infructueux qui donnent malheureusement le sentiment d’un véritable coup d’épée dans l’eau.
Arbitrairement arrêté, jeté en prison, libéré, puis contraint en exil par le régime RPT-UNIR au lendemain de la présidentielle de 2020, l’opposant Agbéyomé Kodjo avait saisi la Cour de justice de la CEDEAO pour dénoncer des procédures judiciaires « musclées » engagées contre sa personne.
Depuis quelques jours, l’opinion nationale est ameutée et scandalisée par une tragique nouvelle. Celle du décès de Ornella Laine, une jeune dame, en plein accouchement. Ceci, du fait de la négligence doublée de l’indifférence criminelle du personnel soignant à son chevet. Un fait malheureux qui, au-delà de la consternation généralisée, prend d’une part la température des projets sociaux que l’on dit initier, depuis quelques temps, en faveur de la femme enceinte et du nouveau-né au Togo et d’autre part, met face à lui-même le régime de Lomé.
Dans une interview accordée au confrère L’INTELLIGENT, le président de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) se prononce sur l’actualité sociopolitique du pays. Jean-Pierre Fabre dit tout de ce qu’il pense de Mgr Kpodzro.
Au Togo, la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) fait objet de critiques. Des observateurs invitent d’ailleurs Mme Adjamagbo-Johnson et les siens à jeter l’éponge et à tourner la page de la présidentielle de 2020, estimant que leur stratégie de lutte est inefficace.
Y a-t-il une différence entre l’Union pour la République (UNIR) et le Rassemblement du Peuple Togolais (RPT) ? La réponse sera peut-être relative dans le haut lieu du régime cinquantenaire. Mais au sein de la classe politique de l’opposition démocratique, elle sera catégorique : Non.
Des internautes togolais n’affichent aucune compassion à l’égard de la béninoise et de l’injustice qu’elle subit. Au contraire, ils se réjouissent plutôt du malheur qui lui arrive actuellement.