Alors que les responsables des communes, chargés d’exécuter la décision du gouvernement togolais de désengorger les abords des voies publiques, tergiversent, certains togolais ont pris déjà sur eux-mêmes de dégager les « conteneurs » et « baraques » leur servant de lieux d’activités professionnelles. Ceux-ci, les larmes aux yeux, se disent meurtris par cette situation qui les plonge dans un avenir incertain.