La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) demande que l’extradition du frère de l’ancien président au Burkina Faso soit suspendue provisoirement, le temps qu’elle examine en profondeur le dossier.
Accusé d’être l’instigateur de l’assassinat du journaliste d’investigation Norbert Zongo en 1998, François Compaoré, frère de l’ancien président burkinabé Blaise Compaoré, aujourd’hui réfugié en terre française, multiplie les démarches pour ne pas retourner dans son pays d’origine pour y être jugé.
En mars 2020, Edouard Philippe, ancien Premier ministre français, a signé la décision de son extradition. Ses avocats saisissent le Conseil d’Etat. Celui-ci rejette leur requête.
Mais la Cour européenne saisie ordonne que la procédure d’extradition soit suspendue, du moins provisoirement, expliquant que sa décision est motivée par un « risque imminent de dommage irréparable ».
En effet, selon les avocats de l’accusé, leur client risque de subir des traitements inhumains et dégradants une fois qu’il sera remis à la justice burkinabé. Dans le camp d’en face, l’on regrette que ses conseils fassent tout pour retarder que la justice soit faite dans le dossier de l’assassinat de Norbert Zongo.
Ah la France !!! La pu.tain de France dans ses intrigues !!!