Une avocate et son client, un détenu, ont été surpris en plein rapport sexuel en prison par un surveillant pénitentiaire.
Le fait se déroule le vendredi 30 juillet dernier à la prison centrale de Saint-Martin-de-Ré, (Charente-Maritime) en terre française : une avocate et un détenu, débordés par ce qu’ils ressentent l’un pour l’autre, se sont laissés aller à un acte sexuel. Sauf qu’ils ont été surpris par un agent pénitentiaire.
Les ébats amoureux en cachette au parloir sont, de façon générale, interdits. La crise sanitaire de coronavirus est venue renforcer cette interdiction. Si le syndicat pénitentiaire s’inquiète du risque de « contamination », la maison d’arrêt, elle, convoque le détenu pour répondre aux questions d’une commission de discipline.
L’avocate peut se réjouir de ce que le parquet de la Rochelle dit qu’il n’engagera pas de poursuite contre elle. Néanmoins, elle doit faire face à l’Ordre des avocats de Charente-Maritime qui annonce une enquête « avec sévérité et sérieux ». Elle risque un blâme voire une radiation du barreau.
En France, les rapports sexuels en milieux carcéraux sont autorisés uniquement dans le cadre des Unités de vie familiale (UVF). Or celles-ci n’existent que dans 36 prisons sur 188.
C’est un besoin naturel.
Voyons, il effectuait simplement le règlement des honoraires de son avocate 😏.
Aïe ! Maman avocate était à ce point ?
Ouille… 😯 😀
Rose marie, sois a ce point de meme