L’opérateur de téléphonie mobile Moov Africa Togo crée la sensation chez ses clients. Cette société qui ne cesse d’émerveiller ses abonnés avec les dernières innovations de la technologie, vient de mettre en place un nouveau produit tout aussi séduisant que les précédents.
Ainsi, après la carte SIM, la mini-SIM, la micro-SIM et la nano-SIM, place à la eSim ! Premier opérateur à proposer la eSim (embedded SIM), Moov Africa Togo offre désormais à ses abonnés la carte SIM “virtuelle” intégrée à un équipement (Smartphone, tablette, objet connecté…).
Avec le nouveau format eSIM, pas besoin d’insérer ou de retirer une carte dans votre appareil mobile. La puce eSIM, beaucoup plus petite est intégrée directement dans l’équipement par le constructeur. Il suffit seulement de télécharger et d’activer le profil pour utiliser immédiatement l’appareil compatible.
Avec la eSim, l’abonné Moov Africa peut désormais combiner un usage SIM classique et eSIM sur son téléphone compatible, éviter les opérations d’insertion ou de retrait de sa SIM et gérer plusieurs lignes sur son terminal grâce à un simple paramétrage.
Cette évolution technologique devient ainsi, un atout indispensable lors de déplacements à l’étranger ou en cas d’utilisation de plusieurs abonnements. La eSIM est intégrée au smartphone et permet avec la plus grande facilité de changer de profil sans changer de carte SIM.
Pour obtenir la eSim de Moov Africa, rendez-vous sur les points de contacts ou demandez directement à votre chargé d’affaires (Abonné Postpayé).
C’est tout ?mendier ce n’est pas bon !
Un peu de retenue mr les journaleux: en quoi ceci est une innovation de “moov”? e-sim existe comme technologie depuis bien des annees et moov ne fait que l’exploiter sans nul doute a l’aide d’une license
Quelqu’un a pensé à Google Voice? Traitez vos clients comme des citoyens du XXIeme siècle. SVP. Cet article est ridicule.
Je suis d’accord avec les 3 intervenants mais, si je me mets à la place du journaliste, celui-ci parle du contexte togolais et du concurrent Togocel. C’est donc une innovation dans la pratique togolaise et non technologique comme le confonds le journaliste.