« Les peuples, comme les hommes, finissent toujours par payer leurs compromissions politiques : avec des larmes parfois, avec du sang souvent, mais toujours dans la douleur» (Norbert Zongo). Échaudé par la crise politique de 2017 et les vagues des manifestations à travers tout le pays, Faure Gnassingbé s’était employé à barricader son pouvoir, à travers la restriction des libertés publiques et des droits fondamentaux.
L’Assemblée monolithique issue de la parodie électorale de 2018 a été immédiatement mise à contribution. Les députés « godillots » se sont empressés de voter des lois liberticides pour arracher aux Togolais les petits espaces de libertés qui leur restaient encore. Coup sur coup, ils ont procédé aux modifications de la loi de 2011 sur les manifestations publiques, appelée « Loi Bodjona » qu’ils ont corsée, et taillé des réformes sur mesures à Faure Gnassingbé, lui ouvrant un boulevard pour une prolongation au pouvoir et même une régence à vie.
Ainsi, le nombre des localités pour des manifestations en une journée et les zones avaient été limités ; idem pour le nombre des horaires qui a été restreint ainsi que les délais possibles pour l’organisation des manifestations dans une journée. Bref, les libertés de manifestation avaient été subtilement interdites, sous le couvert de « menaces sécuritaires ». C’était un retour à la dictature pure et dure.
Dans la foulée de ces restrictions des libertés, survient la pandémie de la Covid-19. Le régime de Faure Gnassingbé ne pouvait rêver mieux. La dictature a été davantage dopée. Le pouvoir se réfugie derrière cette crise sanitaire pour l’amplifier et l’instrumentaliser en mettant en place des mesures attentatoires aux libertés fondamentales, avec à la clé des violences et assassinats auxquels on avait assisté.
Bien qu’aujourd’hui, la pandémie ait reculée, le régime continue de maintenir les restrictions ire dans le seul but de restreindre l’espace civique et éviter toute velléité de contestation sur le plan politique. Comme si ça ne suffisait pas, ce sont les fameux agrégés qui entrent en jeu, pour prêter main forte à Faure Gnassingbé pour asseoir la dictature, en manipulant les textes.
Norbert Zongo l’avait bien dit, il y aura toujours des intellectuels opportunistes qui se servent de leurs connaissances livresques pour aider les dictateurs à donner un contour idéologique et politique à leur tyrannie. « Le tyran peut voler, tuer, emprisonner, torturer… il sera défendu, intellectuellement réhabilité par des ‘cerveaux’ au nom de leurs propres intérêts ».
On est dans le cas d’espèce au Togo où la « légion étrangère » comme appelle les fameux intellectuels est au service d’un régime liberticide et corrompu. Ils ont cédé à la séduction de l’argent qui les transforme en prédateurs et en oppresseurs des Togolais. Plus aucune parcelle de liberté n’existe aujourd’hui dans notre pays.
Médard Amétépé
Liberté Togo
Il aurait fallu citer ces fameux “intellectuels”.
Ainsi nous pourrions apprécier qui est intellectuel et qui ne l’est pas.
Le premier “intellectuel” kpayo dans l’hémicyle est Abass Kaboua, suivi du deuxième “intellectuel” kpayo qui est Gerry Taama.
Le troisième “intellectuel” kpayo est Atchollé et la liste continue pour être fermée par la poufiasse Yawa Tségan.
Au Togo (comme un peu partout en Afrique) les gens utilisent à tort et à travers le mot “intellectuel”.
Beaucoup continuent de croire que le fait d’être un vulgaire lettré ayant été à l’école introduite par le blanc ou le fait d’être bardé de grades universitaires ou de titres académiques signifie qu’on est Intellectuel.
Comment des gens qui n’utilisent pas leur Intellect pour produire des Idées fécondes et des Connaissances profondes peuvent être appelés Intellectuels?
Abass Kaboua n’est pas un intellectuel meme kpayo!!! Gerry Tamea est un bidasse déserteur!!! Tu as toi-meme répondu à tes questions.
APPEL AU BOYCOTT DU TOGO
J’EN APPELLE À LA DIASPORA TOGOLAISE en Afrique, en Europe, en Amérique et partout dans le monde de BOYCOTTER LE TOGO tant que l’énergumene timbré Faure Dracula zieux hooonnn de hibou GNASSINGBE et sa mafia pilleuse satanique diabolique maléfique et sadique des man.geurs de chi.en (Kozah Nostra) se maintiendront AU POUVOIR par la force grâce à leur armée tribale et clanique. Ce BOYCOTT EST UN ACTE DE RÉSISTANCE ET DE PATRIOTISME.
NE FAITES PLUS DE TRANSFERT D’ARGENT AU TOGO
N’ALLEZ PLUS EN VACANCES AU TOGO
NE FAITES PLUS D’AFFAIRES AVEC LE TOGO (exemple : commerce de voitures d’occasion).
J’aimerais d’abord comprendre le mot intellectuel. Qui est intellectuel au Togo et qui ne l’est pas?
Ces gens de tout bord qui aident a renforcer la dictature au Togo sont de Porto Party Politiques. Simplement des gens qui ont vendu leurs âmes au diable et prêts a manger le caca de Faure pour l’argent.
El Nino, on dit Porta Potty, et non Porto Potty, à moins que la potty vienne de Porto au Portugal !!! Loll
Et le plus grand Porta Potty politique au Togo n’est autre que notre opposant historique national, la femmelette Gilchrist Olympio qui manger avec beaucoup d’appétit le ca.ca du man.geur de chi.en et de feuilles de baobab Faure Dracula zieux hooonnn de hibou GNASSINGBE, parrain de la Kozah Nostra, la mafia pilleuse satanique diabolique maléfique et sadique des man.geurs de chi.en.
Il aurait fallu que l’opposition ne boycotte pas les législatives de 2018. Nous sommes en démocratie et il ne faut pas se plaindre
Concordance des temps: ” Il aurait fallu que l’opposition ne BOYCOTTAT pas les élections législatives “.
Au moins les journalistes ont le droit de parler de l’absence des libertés au Togo, et de quelle manière…