Le samedi 23 mai 2020, la jeune couturière Natacha Afi Dzidjokou décède dans des conditions non encore élucidées alors qu’elle a été interpellée avec son petit ami lors du couvre-feu décrété à l’époque pour lutter contre la propagation de la pandémie de coronavirus. Deux ans après, son corps est toujours à la morgue faute d’une autopsie…
La scène se passe au quartier Jean-Paul II (campement) à Atakpamé. Autour de 22 heures, la jeune femme de 18 ans, accompagnée de son copain, est sortie « pour acheter à manger ». Le pays était en couvre-feu.
La couturière est arrêtée. Jusqu’à ce jour, sa famille ne sait pas ce qui s’est finalement passé avant qu’elle ne se retrouve morte. La nouvelle de sa disparition secoue le pays voire la diaspora. L’indignation au comble.
Deux ans, le corps est toujours resté à la morgue. Motif ? Son autopsie n’est pas encore faite pour déterminer avec précision la raison de son décès. Entre-temps, la Commission nationale de l’homme (CNDH) a été saisie par la famille de la victime. Mais aucune ligne, du moins pour le moment, ne bouge.
C’est clair qu’elle a ete violee par les soldats ( elle a ete purement et simplement matassee i.e violee a la ronde par tous les soldats qui etaient ensemble ce soir la lors de la patrouille ). Puis elle a ete ensuite violee puis tuee pour la faire taire definitivement.
C’est un crime abominable et je ne comprends pas pourquoi les ODDH du Togo ne se saississent pas de cette affaire et n’ameutent pas la communaute internationale.
Ce pays et ceux qui le dirige sont complètement dingues 😡