C’est la question que se pose Anani Sossou dans une réaction sur sa page Facebook. Selon le journaliste, Tikpi Atchadam et son parti ont fait long feu. A l’en croire, les mobilisations du PNP en “2017 et début 2018 n’étaient donc que des feux de paille”.
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Depuis 2018, il a officiellement disparu des radars et physiquement invisible. Entre temps, il était devenu un spécialiste des audio WhatsApp qui sont distillés çà et là. Puis depuis plus rien. On l’avait annoncé au Ghana puis après en Guinée.
Mais finalement où se trouve le natif de Kparataou Tikpi Salifou Atchadam, l’ancien militant du PDR de Zarifou Ayéva et l’ancien secrétaire général de la préfecture de Tchaoudjo?
Ses mobilisations de 2017 et début 2018 n’étaient donc que des feux de paille. Alors que son parti le PNP était d’accord à 75% avec la feuille de route de la CEDEAO du 31 juillet 2018 pour résoudre la crise politique d’août 2017.
L’éléphant annoncé est arrivé mais avec un bras et un pied cassés. Que reste-t-il du PNP? Que restent-ils de ses militants dont la plupart est retournée avec armes et bagages dans l’ancienne maison UNIR?
Un parti bien constitué et solidement implanté et installé doit survivre à son fondateur et leader, fut-il charismatique.
Je sais déjà la levée de bois vert de certains qui vont s’acharner sur cette publication. Mais c’est si triste la réalité de ce qui est écrit ici.
Anani Sossou
Le geant des ports a ferme sa bouche.