Depuis 2018, il a officiellement disparu des radars et physiquement invisible. Entre temps, il était devenu un spécialiste des audio WhatsApp qui sont distillés çà et là. Puis depuis plus rien. On l’avait annoncé au Ghana puis après en Guinée.
L’Africain et principalement le Togolais est un cas d’école, un être entièrement à part. C’est sidérant de constater les larmes de crocodile que versent certains togolais de la diaspora et principalement certains de la communauté Tem-Kotokoli suite à la disparition de Semo-Lopez Agoroh. Ils ont vite oublié tout le mal qu’ils lui ont fait, tous les complots montés contre lui pour le nuire politiquement auprès de son parti le PNP et auprès de son leader Tikpi Atchadam avec qui ils ont réussi à faire casser les liens qui unissaient les deux hommes.
Nous sommes de ceux qui ont toujours et de tout temps dénoncé le caractère arbitraire de l’arrestation ou plutôt du kidnapping de Togolais et de Togolaises pour des raisons politiques, qu’on détient dans des conditions inhumaines en prison, qu’on torture et dont beaucoup sont déjà morts en détention. Inutile de rappeler ici que nous avons régulièrement dénoncé la pratique de la loi du plus fort, la persécution politique sur la base de l’instrumentalisation tribalo-éthnique, la totale impunité dont jouissent les donneurs d’ordres et leurs exécutants, et demandé la libération pure et simple de tous les prisonniers politiques en commençant par le demi-frère de Faure Gnassingbé.
Le pouvoir de Faure Gnassingbé continue de s’acharner contre les militants du Parti National Panafricain (PNP). Des militants de cette formation politique de l’opposition ont été enlevés dans la nuit d’hier jeudi à vendredi.
C'est visiblement la lecture que fait le président du Parti national panafricain (PNP), Tikpi Atchadam. Dans une récente intervention, l'instigateur du soulèvement populaire du 19 août 2017 dit voir à travers les dérives du pouvoir, la "peur". A l'en croire, le régime a atteint le paroxysme.
Le leader du Parti national panafricain (PNP), Tikpi Atchadam, s'est prononcé sur la l'actualité sociopolitique qui prévaut au Togo et l'acteur politique n'y est pas allé du dos de la cuillère pour taguer, cette hypocrisie collective du peuple togolais à l'entame de chaque nouvelle année.
Le Secrétaire général du Parti National Panafricain (PNP) section Kpalimé, YAKOUBOU Abdoul-Moutawakilou, décédé hier jeudi au CHU Sylvanus Olympio, sera inhumé ce vendredi, apprend-on.
Le Secrétaire Général du Parti national panafricain (PNP), section Kpalimé, arrêté, détenu pendant plusieurs mois en prison puis relâché il y a quelques jours, est décédé hier jeudi au CHU Sylvanus Olympio. YAKOUBOU Abdoul-Moutawakilou était très malade en prison. Sa mort provoque la colère du Comité de libération des prisonniers politiques (CLP) qui, dans une déclaration, s’indigne.
"Le COVID19 ne saurait constituer un rempart de protection pour le régime illégal et illégitime au Togo."
Salifou Tikpi Atchadam, c’est l’homme politique de l’opposition,...
Un ami nous informe depuis Lomé avoir visité le SG du PNP section Kpalimé, Monsieur Yakouboubou Moutawakilou au pavillon militaire du CHU Sylvanius Olympio. Il n´avait pas de bonnes nouvelles pour nous quant à l´état de santé de l´intéressé. Arrêté le 25 janvier 2020, nous le savions malade et hospitalisé depuis quelques semaines. Mais que son état serait assez dégradé et nécessiterait beaucoup de moyens financiers pour le sortir d´affaire, nous est nouveau. Deux jours plus tard, après cette mauvaise nouvelle du pays, nous apprenons que Yakoubou Moutawakilou est libéré.