Ils parlent. Ils insultent les membres du gouvernement. Ils développent de belles théories. Ils promettent le changement. Etc.
Ils font toutes ces choses dans la journée.
La nuit, ils recevraient des valises pleines de nouveaux billets.
Ils s‘entendraient entre eux pour le partage du gâteau national du #Gondwana.
Le peuple souffre.
Les jeunes, ont perdu espoir. Pourtant après eux, ces jeunes qui sont laissés pour compte sont sensés prendre la relève.
Le peuple a trop marché, sous la pluie ou le soleil du midi.
Le même peuple est comme monnaie de change.
Plus loin, ils iront à la table de discussion pour des résolutions déjà rédigées, convenues en avance auprès des médiateurs qui ne perdraient rien dans les négociations.
Dans l’ensemble les enfants et membres du gouvernement et l’opposition mangent bien, se soignent bien et bien souvent à l’étranger. Leurs enfants qui voudraient vraiment étudier ne le font pas au #Gondwana mais à l’étranger, tranquillement.
À l’opposé, des jeunes désorientés partent en aventure, à la recherche d’un eldorado qui dévient souvent illusoire pour beaucoup qui survivent quand d’autres à la suite finissent leur séjour sur terre dans des conditions douloureuses et lamentablement regrettables.
Les journalistes parleront et parleront. Ils dénoncent et dénoncent.
Les fanatiques des courants politiques de l’opposition et des journalistes, surtout qui aiment creuser le sol comme le porc pour trouver les perles perdues de leurs grand-mères se retrouvent en prison d’où certains ne sortiront plus ou quitteront le monde des vivants rendant leurs biens aimés tristes et bien plus.
Enfin de compte, il suffit d’avoir un parti P avec quelques membres farouches, prêts à tout dire pour se faire inviter à laver les mains. Le repas est prêt.
Leur secret est simple, c’est le principe acquis du populisme sur la base d’un changement hypothétique qu’ils promettent sans jamais le livrer.
Et justement c’est leur degré de populisme qui définirait leur part ou leur gain.
Curieusement, ce sont les mêmes personnes ou leurs dauphins qui narguent le peuple depuis bien longtemps.
Au Gondwana, il y a tellement de docteurs, ingénieurs, experts, professeurs agrégés, médecins, formés au dos du contribuable mais leur seule contribution au développement du Gondwana est d’aggraver le degré d’endettement du pays à cause leur salaire, frais de mission, et tout ça sans rien créer ou innover.
Leur salaire coûte cher au gouvernement et au peuple dont la majorité ignore ce que l’on appelle constitution.
Ces états confirment les propos d’un ancien Président qui disait à ses « voisins choisis » que opposants et gouvernement se connaissent et savent à quel jeu ils jouent.
Ce sage Président avait averti ses voisins et leur suggérait de “quitter dans ça” pour se mettre sérieusement au travail.
Quand on lui dit que tel ou tel membre du gouvernement est parent du président de la république du Gondwana, il leur répondit : oh ils méritent ce poste.
Si ce n’est pas le fils du Président, c’est son neveu. Où est le mal dans tout ceci. Un chef d’entreprise n’a-t-il pas le droit de nommer qui il veut et quand il le veut ?
Autant dire que le Gondwana est une entreprise et non un pays où la démocratie et les promesses philosophiques de changement changeraient le quotidien du citoyen Gondwanais.
Jeunes gens, si vous pensez aux conseils de ce sage Président, éviter de faire la compagnie et de soutenir les caméléons contre votre vie et vous mettre sérieusement au travail serait plus salutaire.
Ce Président-là avait bien raison mais ses voisins n’avaient pas compris son adage.
À Gondwana, il faut se maintenir au pouvoir ! Qui dira le contraire ?
Personne ne voudrait se négliger pour vous et votre avenir n‘intéresse pas les hommes caméléons.
Tout objet qui ne pèse et qui est lancé ne va pas souvent trop loin avant de tomber.
Si vous voulez devenir opposants ou des hommes politiques dans le pays très démocratique du Gondwana, il faut devenir des hommes d’affaires imposants par vos chiffres d’affaires sans vous attaquer aux intérêts au Président du Gondwana ou celui de ses chargés de communication qui ne sont personnes d’autres que ses opposants.
Ils font tout ça pour seulement leurs poches. Bienvenue au Gondwana démocratique.
Brad Hounkpati
La démocratie est une liberté contrôlée par la loi .Au Togo l opposition est aveuglée par la haine, manque de stratégie celle ci se lance dans l injure pour se faire entendre.C est pour cela que la liberté d expression a pris une place importante dans le système démocratique mais cette liberté d expression est contrôlée par la loi ,quand tu dis des choses que tu as du mal à apporter des preuves et bien la loi est là pour te corriger et cette correction est très sévère.Au Togo certains sont en prison parce qu ils disent trop de mensonges leurs propos ne sont pas vérifiés exemple Djima Oré ,Omolou,La démocratie au Togo ne souffre de rien,et le Togo fait parti des meilleurs en démocratie
Bonjour Kombaté,
Merci pour votre commentaire.
C’est moi l’auteur, et je voudrais vous rassurer que cet article ne parle pas du Togo et l’interprêtation que vous en faites.
C’est bien loin de toute prétention.
Il ne faut pas prendre cet écrit dans ce contexte là.