Dans une Afrique où les putschistes, d'un pays à l'autre, ne se valent vraiment pas, quitte à se retrouver sous le joug d’un militaire, les peuples ont le droit, et même le devoir d'exiger les meilleurs.
Le Forum Paix et Sécurité s'est poursuivi, hier, samedi 21 octobre, à Lomé dans la capitale togolaise. Le panel sur « les transitions politiques » en Afrique est le principal thème de cette édition initiée par le Togo avec notamment la participation de l'ONU, de l'UA et de pays du Sahel. Les discussions étaient particulièrement animées.
Mamadi Doumbouya semble avoir aussi oublié que l’histoire politique de la Guinée indépendante est largement dominée par des régimes civils et militaires autoritaires et qu’il est donc absurde d’attribuer les échecs de la Guinée au choix de la démocratie.
La réflexion à laquelle appelle Umaro Sissoco Emballo implique lucidité, y compris sur la pratique du pouvoir de certains dirigeants, alliés objectifs des putschistes.
Dans une tribune consultable sur sa page Facebook, Nathaniel Olympio, le président du Parti des Togolais, se demande ce qui se passe dans les Universités publiques togolaises.
L’état comateux de la scène politique togolaise fait souvent dire aux analystes et observateurs que le peuple est dépité de la politique. Cependant l’affluence actuelle autour des centres de recensement montrent à suffisance que les togolais ont soif d’une démocratie efficace.
La démocratie togolaise souffre de certains maux. C’est un secret de polichinelle. Comment s’en sortir ? Dr Junior Holonou Danklou propose des pistes de solutions.
Un nouveau président au Kenya, à la suite d'un autre qui s'en va, au terme de ses deux mandats constitutionnels, et d'un processus électoral qui n'est, certes, pas irréprochable en tous points, mais conforte les espoirs que beaucoup placent dans une des démocraties les moins discréditée du continent.