L’information selon laquelle une jeune femme de 22 ans ait reçu plusieurs coups de couteaux en pleine rue dans la commune de Cabriès (Département des Bouches-du-Rhône) est abondamment relayée par les médias français depuis hier. Il est aujourd’hui précisé que la victime est de nationalité togolaise.
Les violences urbaines sont de plus en plus fréquentes dans les villes françaises. Ce dimanche, c’est une jeune togolaise de 22 ans, qui en a fait les frais. Il s’agirait de Mademoiselle KOLAGBE Eyram Fortune, étudiante en 3ème année de Licence en gestion à l’Université d’Aix-Marseille.
Alors que cette étudiante revenait de son job et s’apprêtait à prendre un bus, elle reçoit de son agresseur plusieurs coups de couteaux dont certains au niveau de son cœur. Ces coups lui seront évidemment mortels malgré l’intervention des gendarmes arrivés sur les lieux.
Un homme de 26 ans, suspecté du meurtre de la togolaise, a été interpellé par la police. Pour l’heure, aucune information sur les mobiles de cet acte odieux. Le Procureur de la République d’Aix-en-Provence, Jean-Luc Blachon a toutefois indiqué qu’il ne s’agit pas d’un féminicide dans un cadre conjugal.
On attend les suites de l’enquête ouverte pour meurtre par la police de la sûreté départementale des Bouches-du-Rhône pour connaître ce qui a poussé l’agresseur à ôter la vie à cette jeune togolaise, endeuillant par là même toute une famille.
Et si on se mettais à tous les butter au Togo aussi ?
Hongbo be hongbo
Tu as deja buter ceux qui donnent des armes a des togolais pour aller massacrer d autres togolais sur le sol togolais?
Ne sois pas stupide.
Laissez la justice francaise faire son travail.
Elle n est pas aussi corrompue et controlee comme la marionette de justice togolaise.
C est un pure accident. Elle etait simplement au mauvais endeoit au mauvais moment
Idiot, il y a 1000 plus de togolais en France que de francais au Togo. Tu crois que tu vas les butter pour reglement de compte et ils vont se taire?
Laisse la justice faire son travail.
Esprit désertique…faible d’esprit,vous avez à la place du cervo du ciment
Un intellectuel ne dira jamais ça
Tu parles par desespoir et colère, il y a moyen d’empêcher sue cela se reproduise en nous unissant, en interpelant l Ambassade du togo pour qu il se penche dur le jugement du meurtrier et qu on ne s imagine pas qu on va nous tuer comme ca .
Toutes nos condoléances a la famille éplorée. Cet accident aurait pu arriver a tout le monde.
Arrêtez de parler d’accident, il n’y a pas d’excuses à ça ! C’est un meurtre, point barre !
Qui peut arriver à n’importe qui d’entre nous .
Des villes comme Marseille c’est comme des quartiers comme bé y’a trop d’ordures
Puisse Dieu veiller
Tu ne connais pas Lomé toi. Comparez le plus vieux quartier de Lomé et les autochtones de la capitale togolaise de criminels. C’est exagéré ? Moi je suis pas autochtone de Lomé mais pour avoir côtoyé les gens du Bé, tu comprendras leurs mécontentement. N’oublies pas qu’ils sont les premiers victimes au Togo du temps colonial jusqu’au gouvernement successif à nos jours. On les a déplumé, voler , chasser ,exproprier sans 1f d’indemnisation. Bientôt les vacances, tu iras à Lomé mais n’oublies pas que l’aéroport et les grands bâtiments publics sont dans leur Village.
Je me souviens avoir pleuré, pendant les mutineries à Lomé , j’ai quitté Lomé pour Glidji mon village et mes amis Bé n’ont nul part à aller à mon retour 2 de mes amis sont portés disparus et retrouver 2 semaines plus tard décédé tué par balle. Lomé était vide , mais eux ils y sont. Ils sont chez eux à Lomé et c’est leur ville et village. Alors avant de parler de Bé réfléchies bien et cherches à savoir pourquoi des fois ils sont impitoyables envers le régime depuis 1960. Je suis guin, ils m’ont hébergé gratuitement jusqu’à ce que j’ai terminé mon circuit universitaire et aujourd’hui je vis aux USA. Les criminels au Togo tout les togolais savent où ils sont. Peut être tu es l’un des leurs .On vous connaît. En ce qui concerne la mort de notre compatriote , qu’elle se repose en paix. On y peut rien. Quand la mort n’est pas là on vit et quand il est là , nous on est plus présent.