Le ministre des Droits de l’homme, de la Formation à la citoyenneté et des Relations avec les Institutions de la République, Dr. Christian TRIMUA, rappelle ce mardi 13 décembre 2022, à travers un communiqué, la posture à adopter lors de l’exécution de l’hymne national, de la montée des couleurs et les sanctions prévues pour son non respect.
« Il nous a été donné de constater que l’exécution de l’hymne national ainsi que l’observation du protocole entourant la cérémonie de la montée des couleurs ne sont plus faites dans les règles de l’art », a d’abord indiqué le document.
« Cette pratique peu orthodoxe et non patriotique, souvent observée au cours de certains regroupements ou événements à caractère culturel est contraire aux normes en vigueur en la matière. Les emblèmes nationaux, à savoir l’hymne national, le drapeau, la devise nationale, les armoiries et le sceau de l’Etat sont des textes et symboles qui représentent le Togo et traduisent ses aspirations profondes. Ces symboles et textes font l’objet d’une consécration par la constitution togolaise en ses articles 2 et 3 », joute le communiqué.
En outre, le ministre rappelle au public et aux différents organisateurs de regroupements et d’événements que les emblèmes nationaux font l’objet d’une protection par les lois en vigueur. Les outrages à leur endroit sont punis par les articles 490, 491 et 492 du nouveau code pénal togolais. Le cérémonial entourant leur exécution ainsi que leur utilisation est encadré par la loi.
« La montée des couleurs, l’exécution de l’hymne et de la devise nationale doivent se faire dans l’ordre et la discipline, en position debout, les bras le long du corps et la tête haute. Une telle posture rappelle le respect et la dévotion que nous vouons à notre Patrie, à ses martyrs et à notre indépendance. Tout contrevenant à ces dispositions s’expose à la rigueur de la loi. Le Ministre des droits de l’homme, de la formation à la citoyenneté et des relations avec les institutions de la République vous exhorte au respect scrupuleux desdites dispositions », a conclu Dr. Christian TRIMUA.
Venant de celui qui a ouvertement demandé aux Togolais de prendre des armes pour faire respecter la même constitution, qui requiert un transfert pacifique de pouvoir entre les élus du peuple, me paraît problématique. On veut protéger la construction togolaise, cependant la même minorité la viole quotidiennement.
Ce farfelu de ministre, prétend avoir à cœur le respect de notre Constitution et les lois s’y afférent, mais avait á son domicile des valises de cash. Est-ce légal d’avoir d’autant de liquidités sur soi?
Vous avez oublié l’affaire des jeunes filles tuées et mutilées dans laquelle il a été cité
Agbeyome lui où avait-il trouvé le milliard qu’il fêtait au port de Lomé ? Trimua n’a pas eu cette prétention. Même s’il ne faut cautionner aucun détournement de deniers publics.
La montée ou simple apparition du drapeau dans certains pays est un évènement même quand le pays vous esclavagise comme la ségrégation en Amérique jusqu’au début XX eme siècle.