Le Président de la Transition au Mali, Colonel Assimi GOÏTA a accordé ce vendredi, sa grâce avec remise totale de peines aux 49 militaires ivoiriens arrêtés le 10 juillet 2022 à Bamako et condamnés récemment par la justice malienne.
Ces ivoiriens avaient été condamnés pour des « crimes d’attentat et de complot contre le Gouvernement; atteinte à la sûreté extérieure de l’Etat; détention, port et transport d’armes et de munitions de guerre ou de défense intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle et collective ayant pour but de troubler l’ordre public par l’intimidation ou la terreur».
« En cette circonstance, le Gouvernement de la Transition et le Peuple malien remercient SE le Colonel Assimi GOÏTA, pour ce geste qui démontre une fois de plus son attachement à la paix, au dialogue, au panafricanisme, à la préservation des relations fraternelles et séculaires avec les pays de la région, en celles entre le Mali et la Côte d’Ivoire », affirme une note du gouvernement malien.
« En outre, cette mesure de grâce prise en toute indépendance, symbolise le souci de SE le Colonel Assimi GOÏTA, Président de la Transition, Chef de l’Etat à promouvoir la bonne gouvernance, dans le cadre de la Refondation du Mali, à travers le respect de l’indépendance de la Justice et la non- ingérence de l’Exécutif dans les affaires judiciaires. La mesure de grâce prise par le Président de la Transition, vient ainsi conforter la dynamique créée suite à la signature à Bamako, le 22 Décembre 2022, du Mémorandum d’entente relatif à la promotion de la paix et au renforcement des relations d’amitié, de fraternité et de bon voisinage entre la République du Mali et la République de Côte d’Ivoire », ajoute le document.
A cet égard, Bamako renouvelle « sa profonde reconnaissance au Président de la République Togolaise SE M. Faure Essozimna GNASSINGBE, pour ses efforts inlassables et son engagement constant pour le dialogue et la paix dans la région.
Dans la gestion de cette affaire, qui était bilatérale depuis sa survenue jusqu’à son dénouement, le Gouvernement de la Transition a été indigné par l’attitude partiale de certains responsables contre notre pays.»
Dans le même communiqué, Mali a qualifié d’«agressive» la position du Président en exercice de la CEDEAO, SE M. Umaro Sissoco Embalo. Le pays sahélien estime que ce dernier ayant «échoué lamentablement à porter atteinte à l’honneur du Mali devant les instances internationales, vient d’opposer un ultimatum au Gouvernement de la Transition concernant la libération des ivoiriens ».
Mon Colonel
Pourquoi relâcher ces malabars malpropres comme ça?
Il fallait les garder là-bas au frais et les fesser correctement matin midi et soir pourque cela leur serve de leçon et pourque d’autres ne s’y hasardent plus!
K. Kofi FOLIKPO
http://www.kebo-toe.net/?page_id=2676
49 soldats ivoiriens pouvaient-ils, à eux seuls, renverser le régime politique de Bamako sans des complice sur le terrain malien? Or, à ma connaissance, il n’y a jamais été question de complices à Bamako. A partir de cette réalité, on peut dire que les autorités maliennes ont simplement eu peur de leur ombre!
Quelle grace présidentielle? Et quel Président? élu par qui? qu’il foute le Camp ce petit militaire . Oui il était pris par la gorge et ne savait plus quel argument inventé ou bien quelle explication données données aux maliens s’il liberait ces ivoiriens comment ca. Alors il fallait les condamner et après donner une grace présidentielle. Qui ne connait pas cette formule. Seuls ceux qui lisent pour lire.
Quelle honte pour ces puotschistes. Ils ont cru pouvoir faire pression sur Ouatara et enfin de compte tout le monde entier á crier sur eux Ohhh la bande de poutchiste!
Et cel a ne fait que commencer, je vais dire la descente uax enfers. Ils finiront par fouir un á un cette bande de voyoux qui croient que les maliens sont betes. Jusqu’ici rien ne change et il pense rester aussi longtemps que possible au pouvoir.
Le grand moment est entrain de s’approcher.