Il existe encore de nombreuses écoles opérant au Togo qui ne remplissent pas les conditions telles que fixées par leur ministère de tutelle. Ils ont une épée de Damoclès sur la tête.
En l’espèce, les fondateurs d’écoles construites en rez-de-chaussée n’ayant pas encore fait parvenir leur permis de construire et les caractéristiques techniques des bâtiments au ministère des Enseignements primaires, secondaire, technique et de l’artisanat risquent gros.
Une note en date du 17 octobre 2022 fait obligation à ces promoteurs d’envoyer leurs papiers aux services techniques de leur ministère de tutelle. Sauf qu’aujourd’hui, beaucoup n’ont pas jugé bon de s’exécuter alors que la date fixée était alors le 4 novembre 2022.
Le Professeur Dodzi Komlan Kokoroko leur donne une nouvelle date butoir pour lui fait parvenir lesdits documents. « Eu égard au caractère extrêmement délicat du dossier, je demande aux promoteurs d’établissements scolaires privés non encore en règle, qu’ils ont jusqu’au 31 janvier 2023, délai de rigueur, pour se conformer aux dispositions de la note de service du 17 octobre 2022 ».
Et de menacer : « Passé ce délai, le Ministère se réserve le droit de prendre des mesures à leur encontre », avertit celui qui est également le Président de l’Université de Lomé.
C´EST PAS TOUT CE QUE FAIT M. KOKOROKO EST MAUVAIS-SI LES BATIMENTS S ECROULENT SUR LES ELEVENT, VOUS SEREZ LES PREMIERS A CRITIQUER LE MINISTERE- IL Y A BEAUCOUP D ECOLES PRIMAIRES, DE COLLEGES, DE LYCEES ET D UNIVERSITE PRIVES QUI SONT AU TOGO SEULEMENT POUR ESCROQUER LES PARENTS-TOUS CES ETABLISSEMENTS QUI NE SONT PAS DANS LES NORMES DOIVENT ETRE RAPPELER A L ORDRE-C EST MON OPINION PERSONNELLE
Merci au Ministre pour ce courage. Je propose que cette initiative soit partagée avec votre collègue de l’enseignement supérieur et étendue aux établissements universitaires pui pullulent déjà à Lomé !