Pour répondre à la volonté de Mgr Kpodzro de ne pas aller aux élections avec une coalition qui porte son nom, Mme Adjamagbo et ses camarades de la DMK ont créé une nouvelle coalition dénommée « Dynamique pour la majorité du peuple (DMP) ».
A en croire la Secrétaire générale de la Convention démocratique des peuples africains (CDPA), il ne s’agit pas de couper le pont avec le prélat nonagénaire.
« On ne peut pas parler de divorce entre nous et le prélat. Nous respectons juste la position de Monseigneur Kpodzro en changeant de nom. Le prélat ne voudrait pas qu’on participe à un simulacre, et c’est tout à fait normal. Et c’est la raison pour laquelle il ne veut pas qu’on prenne part à ces échéances avec son nom. De notre côté, nous avons décidé simplement de prendre nos responsabilités. Il s’agit de se battre pour l’alternance au Togo. Nous pensons que le prélat et nous sommes sur la même onde. On ne pourra donc pas parler de divorce », a confié Mme Adjamagbo-Johnson au confrère « Linterview.tg ».
Le changement de nom n’implique pas le changement d’objectifs. « Ce changement de nom veut dire que nous nous battrons pour la réalisation des points de la plateforme et nous irons aux élections », a-t-elle conclu.
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Merci Madame mon ancienne enseignante à la FDD pour la lucidité du groupe que vous dirigez.
# NON AU BOYCOTT !!!!!
Il faille s’attendre à cette rupture entre un prélat octogénaire, et surtout sénile et un groupe d’opportunistes politiques qui croyait se cacher derrière une certaine bannière religieuse pour berner certains militants naïfs de l’opposition. Décidément, la coordination de Dame Brigitte Adjamagbo n’aboutit jamais. la secrétaire de la CDPA est de tous les regroupements politiques au sein de l’opposition togolaise depuis un certain temps, pour quel bilan? Elle était déjà la coordinatrice de la C14, de la DMK et à bien voir de ce nouveau regroupement DMP (Dynamique de la Majorité du Peuple), difficile pour Dame Adjamagbo d’amener à bon port une coalition de partis politique. Ceci montre a suffisance que le manque de leadership et la mise en place de stratégies efficaces restent et demeurent l’épine dans les chaussures de l’opposition togolaise.