Quelle place accordée à l’homosexualité voire aux homosexuels en Afrique ? A cette question les avis divergent. Ils sont nombreux sur le continent à dire qu’une relation deux personnes du même sexe est une « aberration ». L’Occident prône le contraire. Lire cette analyse sentencieuse du journaliste Anani Sossou. Il dit ici tout haut, ce que beaucoup pensent tout bas.
« Non l’Afrique ne sera pas ça, elle ne fera rien qui est contraire à ses valeurs
Une famille c’est un homme et une ou des femmes avec un ou des enfants et non un homme avec un homme, une femme avec une femme et sacrilège avec un ou des enfants.
En Côte-d’Ivoire il y a quelques jours, l’ambassade américaine à Abidjan avait affiché sur la grille de ses locaux, une banderole pour soutenir ce qui est contraire à nos valeurs africaines, à nos coutumes, à nos traditions. C’est-à-dire les personnes de même sexe qui vivent et font l’amour entre eux.
Au Cameroun c’est l’ambassadeur Berthon qui a suscité la colère des Camerounais en annonçant durant 5 jours du 27 juin au 1er juillet 2023 une conférence à Yaoundé en soutien aux personnes ho*mo*sexuels. Pire il envoie un courrier au ministre camerounais de l’extérieur pour qu’il entérine un tel état de fait.
Imaginez un instant l’ambassadeur du Togo en France qui prévoit une conférence durant 5 jours sur la polygamie à Paris et écrit au ministre français des affaires étrangères pour qu’il adhère à cet objectif. Ce sera un crime de lèse-majesté. Comment pourriez-vous être foncièrement contre la polygamie et la punir dans les textes de loi et adouber que des personnes de même sexe puissent se pavaner dans les rues, les maisons et procréer des enfants ou en adopter? Pourquoi vouloir exporter et imposer ceci au reste du monde et principalement à l’Afrique? Personne ne vous dénie le droit de mettre cette pratique dans vos mœurs. Mais pas chez nous.
La loi togolaise est claire dans ce domaine. Toute personne qui affiche son ho*mo*sexualité ou qui est arrêtée en train de faire l’apologie de cette abomination est passible d’une peine de 1 à 3 ans de prison ferme et d’une amende pouvant aller jusqu’à 3 millions de Fcfa. Voilà qui est bien noté et les populations demandent même à l’instar de l’Ouganda, du Nigeria ou d’autres pays, que cette loi soit plus répressive.
Non l’Afrique ne sera jamais ça, n’adoptera JAMAIS cette propagande de perversion ho*mo*sexuelle à l’occidental. Nous la combattrons tout comme nos grands-parents et nos parents ont combattu la colonisation et le néocolonialisme.
J’ai encore dit… »
Anani Sossou