A quelques heures d’un nouveau sommet des Chefs d’Etats de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) sur la situation politique au Niger, le Président Bissau-guinéen a exprimé ses préoccupations quant à l’avenir de l’organisation communautaire. Selon lui, elle est « jusqu’ici la plus sûre, la plus solide [des organisations] du continent ».
« La situation que traverse la CEDEAO est vraiment préoccupante. Cette organisation jusqu’ici est la plus sûre, la plus solide de tout le continent. Aujourd’hui, nous courons le risque de la faire disparaître », a déclaré Umaro Sissoco Embalo qui a passé les rênes de l’Organisation il y a quelques semaines au nigérian Bola Tinubu.
Les mots utilisés par le Chef de l’Etat bissau-guinéen traduisent aisément sa position quant aux « militaires » qui renversent ses collègues « Chefs d’Etat » élus aux urnes. Il a d’ailleurs confirmé son appartenance à la ligne dure de la CEDEAO, celle qui consiste à taper du « point sur la table » ou encore à aller à l’affrontement, en annonçant que si l’organisation communautaire optait pour une intervention militaire au Niger, il n’aura pas à requérir l’avis du parlement de la Guinée Bissau ; Il procéderait par décret.
Seulement, il faut faire face à la réalité. Tous ceux qui fantasment sur un rétablissement par la force du président Mohamed Bazoum doivent déchanter actuellement. La solidité et la sûreté qu’on prête à la CEDEAO ne se retrouvent que dans les carcans bureaucratiques, les silences face aux acrobaties constitutionnelles et la solidarité complaisante entre Chefs d’Etats.
Si les craintes d’une disparition de la CEDEAO sont réelles, les positions comme celles affichées par Umaro Sissoco Embalo ne contribuent guère à redorer le blason de l’organisation.
 sur la situation politique au Niger, le Président Bissau-guinéen a exprimé ses préoccupations quant à l’avenir de l’organisation communautaire. Selon lui, elle est « jusqu’ici la plus sûre, la plus solide [des organisations] du continent ».){kind=link}
Voila un petit cloune de président.
Lorsque les armes ont crépitées chez lui l´Année passée ( le 1er février 2022 ) n´a t´il pas eu refuge sous les tables pour sauver sa vie? pourquoi n´était t´il pas sorti en tant que général des forces armées pour diriger la contre attaque? C´est facile de soulever ses bicepces devant la presse.
Venez seulement , les Nigeriens vous attend .
Encore un autre parvenu maboul qui s’est retrouvé à la tête de la Guinée Bissau et qui ne comprend rien aux intérêts de l’Afrique. Il pense peut-être que le Niger est un village de la Guinée Bissau. J’espère que l’armée bissau-guinéenne va vite s’occuper de son cas.
Il n’y a pas de temps à perdre. Il faut bouter tous ces putschistes dehors.
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Et ramasser le corps de Bazoum au passage…Cette solution est trop bancale.
Il y a de ces Africains capables de vendre leurs pères et mères pour quelques sous et qui sont de véritables trous du cul. Je préfère mille fois les hommes en kaki qui sont contre la main mise de la salope de France sur nos ressources naturelles et notre monnaie, que les satrapes à la tête de nos États, véritables garçons de courses et voleurs de nos deniers, et qui livrent nos pauvres pays aux pillards occidentaux. J’espère que le Niger avec ses soutiens (Mali, Burkina Faso et Guinée Conakry) vont donner une bonne raclée aux minables soldats de la CEDEAO. On les connaît, ils détalent bien comme des lapins devant 5 gamins armés, comme les militarés togolais. Ils ne savent que tirer sur des populations à mains nues. Cette fois-ci, ils auront devant eux des soldats armés, prêts à défendre leur patrie. Je souhaite que le Niger, le Mali et le Burkina portent la guerre dans ces pays africains qui enverront des troufions et des officiers sacs au dos au Niger.
Absolument d’accord avec vous !!! Pouvu que les militaires nigeriens ne se transforment pas en hommes d’affaires et refusent de quitter le pouvoir après la transition.
Vous avez tout à fait raison. Je partage entièrement vos inquiétudes mais on peut espérer quelque chose surtout avec le jeune capitaine Traoré du Burkina Faso, qui nous rappelle si bien le feu Thomas Sankara et le colonel Assimi Goïta du Mali, qui se sont levés contre la France mafieuse afin de mettre vraiment leurs pays sur une réelle voie de développement. En tout cas, moi je pense que plus rien ne sera comme avant. L’Afrique se réveille.
J’espère que les Haoussa ne vont pas faire de prisonniers de guerre. Ils faut qu’ils utilisent aussi leurs longs couteaux de tsitsiga pour sortir les boyaux des soldats de la CEDEAO. Il faut qu’ils fassent des videos de ça et l’envoyer sur les réseaux sociaux. Moi, je veux voir ça en prenant une bonne bière.