Le Parti du Peuple et d’Intégrité (PPI) semble inquiet de la décision portant introduction de l’Anglais au préscolaire et primaire au Togo.
La formation politique dirigée par Zato Kadambaya estime que le fait de relier l’initiation à l’adhesion du Togo au Commonwealth est peut-être un leurre.
” Si aujourd’hui notre pays a été admis au Commonwealth, il peut en être exclu un jour. Que deviendra alors le programme d’anglais dont la seule motivation était l’adhésion au Commonwealth ? “, s’est-il intérrogé dans une déclaration.
Même si le PPI félicite les gouvernants pour cette initiative, il émet de sérieux doutes quant aux tenants et aboutissants du projet, et il n’est pas le seul. Beaucoup d’autres observateurs ont fait la même analyse.
Rappelons que Zato Kadambaya et ses acollaborateurs avaient déjà plaidé plutôt en 2017 pour l’introduction de l’Anglais au préscolaire et primaire au Togo au moment même où leur parti était porté sur les fonts baptismaux.
Mon beau pays, on critique seulement pour critiquer.
N’importe quoi !!!
Je serai même pour une interdiction de l’enseignement du français.
Pourquoi ? Parler une langue ne développe pas mais parler plusieurs langues oui. Les asiatiques qui excellent sont bilingues et trilingue ou polyglotte. KAMALA HARRIS, vicr présidente des USA a fait une partie de ses études dans un établissement francophone au Quebec.
La riche de l’homme s’est de se noyer comme un poisson dans l’eau.
Quand le Togo sera exclu du commonwealth l’anglais aussi sera exclu de la cervelle de ceux qui l’ont appris. C’est ce que notre grand frère pense? L’anglais accorde beaucoup d’atouts à ce qui le maîtrisent cher monsieur.