Dans un essai, Luc Abaki, ex-directeur général du Groupe Sud-Media basé à Lomé, parle « Du métier de journaliste dans une démocratie ». Un livre publié aux éditions Continents.
L’ouvrage selon Kangni Alem, Grand Prix Littéraire d’Afrique Noire, montre « les faiblesses de la formation journalistique sous nos cieux, l’assujettissement de l’homme de la presse et des médias aux forces contradictoires de la finance et surtout sa naïveté à vouloir informer sans être certain des nombreux risque de manipulation qui rendent son travail délicat ».
« A contrario, Luc Abaki fait un constat implacable de la volonté des classes dirigeantes africaines à étouffer la liberté du journaliste, alors même que les deux acteurs, le politique et le journaliste ont le même rôle auprès du citoyen : l’informer de la vie dans la citer, le former à se dépasser afin de construire un territoire où vivre ensemble est l’idéal », complète l’universitaire.
« Du métier de journaliste dans une démocratie » est préfacé par Aimé Adi, le directeur d’Amnesty International au Togo.
Va écrire ceci au Mali, Niger, Burkina Faso, c’est-à-dire des militaires putschistes dont tu fais la promotion bec et ongle sur New World.
Parce que dans ces trois pays, ce n’est pas la démocratie et le titre de ton écrit devrait plutôt être ” Le métier de journaliste dans un régime militaro-putschiste: cas de l’AES.”
Les hommes de médias à bien voir sont moulés dans les systèmes de démocratie à l’occidental. Il y a une relation étroite existe entre les journalistes et la politique. Suivez mon regard. Nous tous nous savons ce que c’est que la kabbale, la propagande et autres. Il faut reconnaitre que dans le contexte africain, bien que certains journalistes s’échinent à faire comme il faut leur job, nous avons des journaliste bitozard ceux qui sont soi-disant dans les affaires, des journalistes hors-pair mais au fait, ils ne sont que des hommes de médias qui ternissent l’image de la presse.