TOGO : Des vies brisées et des familles endeuillées pour toujours

On se demande, depuis bientôt 20 ans si le Togo est gouverné, géré et à un vrai chef de l’État. Rien n’est prit au sérieux sur tous les plans, pas de contrôles et surtout des pilleurs, voleurs, incongrus et véreux au sommet de l’appareil de l’État. Par manque de sincérités, le vendredi 13 décembre 2024 un drame est survenu à Agoè-Zongo, qui a plongé des familles dans la tristesse, deuil et des vies brisées pour toujours.

Comment peut-on expliquer et comprendre ce qui est arrivé le vendredi 13 décembre 2024, dans l’effondrement de passerelle à Agoè-Zongo banlieue nord de Lomé ? Suite à ce drame qui est de trop dans le pays avec 08 morts inutilement et 03 blessés graves, nous avions été à l’information pour en savoir plus sur ce drame horrible, soldé par 08 morts comme suit d’après nos recoupements et investigations : Le chauffeur et les 02 apprentis chauffeurs du camion citerne de la société Sodigaz sont décédés sur le champ.

Dans le tricycle qui est un transport en commun appelé communément “Gnongnonvi“ le conducteur et les 05 passagers abord sont tous été écrasés par la chute du tablier de la passerelle.
Dans le tricycle il y a deux jeunes filles à fleur de l’âge à savoir :
KOWOUVI Tabita Dorcas née le 22 mai 2003 à Lomé âge 21 ans.
ALITI Essodolom Déborah âge 21 ans, et fille d’un ancien combattant de l’armée togolaise.
Les deux filles sont très amies et comme des jumelles habitant le quartier Adétikopé-Kpotavé.
Elles sont étudiantes en cuisine –pâtisserie à l’école hôtel la Savoureuse à côté de la brasserie BB à Agoè.
C’est au retour des cours à leur école que la vie des deux c’est arrêtées pour toujours dans ce drame causé par les gens véreux, malhonnêtes du régime RPT/UNIR et qui sont dans le cercle immédiat de Faure Gnassingbé.

Sur le lieu du drame, certaines personnes avaient profités pour voler les biens des victimes. Le téléphone portable IPhone de Dorcas a été dérobé et le voleur l’avez utilisé jusqu’au le lendemain du drame avant de l’étendre. Pour ce drame, les familles ont été obligées de payer les frais de la morgue à l’hôptal Dogta-lafia à Agoè avant la récupération des corps.
Comment peut-on comprendre ça ? Pourtant cet hôpital n’est pas privé à ce qu’on sait.
Le dimanche 15 décembre 2024 dans l’après-midi, KOWOUVI Tabita Dorcas a été inhumée part sa famille qui avait prit tout en charge. Selon l’information reçue auprès de la famille, leur fille ALITI Essodolom Déborah sera conduite en sa dernière demeure le samedi 21 décembre 2024.

Le Mardi 17 décembre 2024 dans l’après-midi, une délégation de députés, maires des communes conduite par la ministre de l’action sociale, Madame Zinsou- Klassou ont rendu visite la famille de KOWOUVI Tabita Dorcas pour leur présenter les condoléances, avec une enveloppe de 1 million de FCA de la part de Faure Gnassingbé, chef de l’Etat, et une autre enveloppe de 500 milles FCA de la part de la société.

Voilà le visage et caractère cynique de ce régime qui gouverne le Togo depuis plus 58 ans de père en fils.
Sincères condoléances aux familles éplorées et promptes rétablissement aux blessés.

La Nouvelle

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