La menace de l’érosion côtière plane sur la plage de Baguida, l’une des destinations les plus prisées du Togo, notamment le week-end. Alors que les travaux de construction de brise-lames, destinés à protéger la côte entre Katanga et Gbodjomé sur 14 km, sont financés par la Banque islamique de développement (BID), les riverains s’inquiètent des retards.
Ce projet, crucial pour préserver les habitations et commerces locaux, n’a pas encore démarré, exacerbant la crainte d’une perte irréversible de terres.
Les effets de l’érosion touchent l’ensemble de la côte togolaise, menaçant la sécurité des populations et des infrastructures. Les habitants, mobilisés, appellent les autorités à une intervention rapide pour éviter des dégâts supplémentaires. Dans le même temps, la Banque mondiale soutient un projet régional pour lutter contre ce phénomène qui frappe plusieurs pays de la région.
Les riverains, anxieux, attendent des actions concrètes avant que la situation ne devienne irréversible.