Le président de l’Alliance Démocratique pour le Développement Intégral (ADDI), Aimé Gogué, a récemment critiqué la gestion des allocations budgétaires par le gouvernement, notamment en ce qui concerne les fonds alloués à l’emploi des jeunes.
Selon lui, les déclarations officielles sur le sujet sont illusoires et ne reflètent pas la réalité des moyens mis en place pour relever ces défis.
L’acteur politique dénonce l’incohérence budgétaire du gouvernement, soulignant des disparités flagrantes entre les ministères. Le ministère des Affaires étrangères, par exemple, se voit attribuer près de 20 milliards, tandis que celui de l’Enseignement technique, pourtant essentiel pour la formation des jeunes, ne reçoit que 16,2 milliards. Il qualifie cette répartition de déséquilibrée et non adaptée aux enjeux du pays.
Le président de l’ADDI estime que les priorités budgétaires du gouvernement ne vont pas dans le sens du développement durable, en particulier pour la jeunesse.
Sagissant de la jeunesse, il faut préciser que la mauvaise répartition budgétaire peut entraîner un manque de ressources essentielles pour la formation des jeunes, compromettant ainsi leur employabilité et leur insertion dans le marché du travail