Poussé par une partie importante de ses compatriotes établis dans le pays, Napo Léon Gbati annonce sa candidature à l’élection de l’Union des Togolais de la Côte d’Ivoire (UTOCI) qui aura lieu dans deux mois.
Entrepreneur épanoui, le gérant de Queen Jennifer grâce construction Sarl (QJG) a franchi le pas pour au moins deux raisons. La première est que sa candidature, selon lui, est placée sous le signe de la réconciliation après avoir fait le constat que les filles et fils du Togo installés au pays d’Alassane Ouattara ne s’entendent plus comme avant. Or rien de durable ne se fait dans la division, autrement dit : l’union fait la force.
C’est un secret de Polichinelle de dire que l’UTOCI traverse une période délicate de son existence ces dernières années. Et son entourage estime qu’il est l’homme de la situation pour en quelque sorte ramener le calme dans la maison.
La seconde que Napo Léon Gbati déborde de projets dont son élection permettra d’implémenter au grand bonheur des Togolais vivant en Côte d’Ivoire.
Son atout, il connait presque tout le monde, entretient de bonnes relations avec les uns et les autres voire avec les autorités politiques et administratives du pays d’accueil. Bien qu’il promette une nouvelle dynamique, certains diront une rupture, le candidat promet travailler avec tout le monde. « Ma porte de mon bureau restera ouverte à tout le monde si mes compatriotes me font confiance. C’est ensemble que nous allons relever les défis qui sont devant nous », confie-t-il, enchaînant qu’il s’emploiera pour mettre fin aux guerres de leadership qui sapent, parfois, le vivre-ensemble au sein de la communauté togolaise.
« Notre ambition est de construire une Union des Togolais de Côte d’Ivoire, UTOCI donc, plus forte, plus inclusive, plus représentative », ajoute Napo Léon Gbati, misant, pour y parvenir, sur le triptyque : réconciliation, la restauration et la relance, une sorte de 3R.
Pour le moment, il est le seul candidat déclaré. Le président sortant, Douti Kolani, n’a encore, officiellement, dit s’il se représentera pour un nouveau mandant de quatre ans ou non.
Nom stupide caractéristique du nègre sans conscience historique.
J’approuve ce constat!
On peut supposer que le monsieur a pour nom de famille Gbati ou Napo, comme on en connaît assez souvent de la région de Bassar. Et il est évident que son prénom est Léon
Il aurait donc dû écrire GBATI Napo Léon ou bien Léon Napo GBATI. Mais comme les nègres sont très complexés vis-à-vis des “grands noms” des occidentaux, il préfère écrire Napo Léon GBATI ou GBATI Napo Léon pour se donner une importance, en allusion au monarque français Napoléon.
Eeeeh Africains! Votre chemin est long!
C’est sur vous ne manquez pas d’imagination. Si ca se trouve, le mr ne connait pas de Napoleon et que c’est le journaliste qui fit ce jeu de noms. Africain toi-meme aussi puisque comme vous dites si bien: notre chemin est long