La pression populaire sur le gouvernement burkinabè concernant le départ des forces françaises de ce pays en proie à des attaques terroristes meurtrières, est de plus en plus intense. Au point qu’en fin de semaine dernière, les autorités du Faso auraient formulé une demande officielle du retrait desdites forces de leur territoire. Mais à quoi ressemblerait le lendemain du Burkina Faso après ce retrait ?
Les forces françaises ne sont plus en odeur de sainteté au Burkina Faso. La vague de déception à l’égard de l’armée française, et par ricochet des intérêts de l’Hexagone en Afrique de l’Ouest va en crescendo. Officiellement, le Président de la transition Ibrahim Traoré et son gouvernement ont dénoncé les accords militaires du 17 Décembre 2018, sujet sur lequel la France a réagi en exigeant des clarifications.
Somme toute, il est clair que les burkinabè ne veulent plus de la présence de l’armée française sur leur territoire. Seulement il est judicieux de se demander ce qu’adviendrait de la place ou plutôt du vide qu’auront laissé les français en partant. « La nature a horreur du vide », dit-on souvent.
Au sein de l’opinion nationale burkinabè, on peut aisément percevoir une certaine sympathie pour une collaboration avec la Russie de Vladimir Poutine. Toutefois si la « grande masse » peu capable de faire des analyses géopolitiques se livrent à ce genre de requêtes, il importe que les leaders burkinabè murissent profondément les réflexions sur ce sujet. La Russie ne viendra pas en libérateur altruiste.
Aussi, importe-t-il de commencer à penser à l’après « forces françaises » dès maintenant. Surtout que les djihadistes ne perdent leur ardeur à commettre des atrocités. Si les populations à raison ou à tort réclament le départ des forces françaises, il est de la responsabilité des gouvernants actuels de trouver de véritables alternatives allant dans l’intérêt général de celles-ci. Il serait dommage de déshabiller Pierre pour habiller Paul.
Ce billet insipide, simpliste et peu inspiré de cet écrivaillon Kossi Kone prouve que certains nègres sont toujours dans le vieux schéma d’un messianisme enfantin.
Pour ce journaleux mal inspiré, les Burkinabé seraient entrain de remplacer les militaires français par des militaires russes pour garantir leur sécurité. Or, il n’en est rien à voir les choses de près! Les Burkinabè demandent simplement à l’armée française d’occupation de vider les lieux afin qu’ils redéfinissent leur coopération militaire multilatérale selon leurs besoins sécuritaires du moment!
On n’a pas besoin d’un cours de géostratégie pour comprendre cela!
Il a raison le journaliste. Dans l’histoire Senghor avait vu clair en disant que l’Emotion est Nègre. Quel est ce pays Africain qui se developpe sans aide extérieur. Allez voir les agregats et vous verrez. On bombe la poitrine d’être des nationaliste avec des poches vides.
Des indépendances à aujourd’hui, le Produit Intérieur Brut des pays Africains à décrut alors que ceux des pays riches ne cessaient de monté.
Donnez un seul pays qui developper les chemins de fer que les blancs nous ont laissé. Loins de moi de soutenir la France mais il ne faut pas jouer aux nationalistes. Même les allemands, Coréens, japonais, italiens ont ded bases americaines chez eux et rien n’a empêché ces pays de se développer.