«Nous dénonçons avec la plus grande vigueur cet abus qui expose dangereusement nos populations aux brimades et qui sape le…
Même avec seulement cinq députés à l’hémicycle, Mme Adjamagbo-Johnson est fermement convaincue que l’opposition pourra mener le combat face à la majorité écrasante d’UNIR, qui détient 108 sièges. La députée de la DMP semble lancer un appel à ses « collègues » de l’opposition, notamment de l’ANC et des FDR, les invitant à regagner leurs sièges au parlement pour poursuivre la lutte.
Le mardi 21 mai 2024 passé, les députés élus ont pris fonction. Les cinq élus de l´opposition aux élections législatives…
Ce n’est que le début de la saison pluvieuse au Togo. Mais déjà, la population est au désarroi et se…
Ce samedi matin, une forte pluie s’est abattue sur la ville de Lomé, causant d’importants dégâts sur son parcours. À Agoè 2 Lions, quartier de la commune d’Agoè-Nyivé 2, les rues sont inondées.
Les inondations sont ce qu’elles sont au Togo. Incontrôlables, répétitives, jamais maîtrisées. De même qu’on ne saurait avoir une année sans pénurie de carburant, sans coupure d’électricité et sans pénurie d’eau potable, de même les inondations ont toujours leurs semaines de gloire au Togo, avec les conséquences les plus graves qu’elles entraînent du côté de chez les démunis.
Le Togo, sous le leadership du chef de l’Etat Faure Gnassingbé, a obtenu jeudi à Washington aux Etats Unis, un soutien significatif du Groupe de la Banque mondiale. La Banque mondiale a approuvé un nouveau Cadre de partenariat avec le Togo, appelé « Country Partnership Framework » (CPF), et a accordé une dérogation spéciale pour l’accès du pays au guichet de prévention et de résilience. De plus, trois nouveaux financements de l’Association internationale de développement (IDA) ont été approuvés, totalisant plus de 360 milliards de francs CFA (600 millions de dollars).
« …Les captifs auxquels nous avons pour mission d’annoncer la libération aujourd’hui sont nos frères les détenus dans des conditions inhumaines, qui s’entassent dans des cellules exigües, insalubres, surpeuplées où beaucoup sont contraints de rester debout toute la nuit, accroupis, au mieux, allongés à même le sol les uns contre les autres comme des sardines dans les boites… Cette situation insupportable est inadmissible et indigne d’un État qui se veut être un Etat de droit. On ne peut pas traiter ainsi des humains quel que soit ce qu’ils ont fait. Aussi, je lance un appel urgent et solennel aux autorités de notre pays à tous les niveaux pour que les conditions de détention soient améliorées et que la dignité et les droits fondamentaux des prisonniers soient respectés.» (Monseigneur Dominique Banlène Guigbile, évêque de Dapaong).
