Faure Gnassingbé persiste et signe: la démocratie et l’alternance au Togo, ce n’est pas pour demain
«…Mes chers compatriotes, Togolaises, Togolais, je veux terminer ces voeux que je vous adresse pour 2025 en soulignant combien l´année…
«…Mes chers compatriotes, Togolaises, Togolais, je veux terminer ces voeux que je vous adresse pour 2025 en soulignant combien l´année…
Malgré la malgouvernance et les violations des droits de l’homme, Faure Gnassingbé reste le dictateur le plus à l’aise qui…
Le Ghana vient de vivre une nouvelle alternance politique à l’issue des élections présidentielles tenues ce week-end. L’ancien président John…
«Sous le prétexte d’un coup d’Etat, des Camerounais, par centaines ont été tués, et enterrés dans des fausses communes, telles…
L´interview accordée par Monsieur Cellou Dalein Diallo, opposant guinéen en exil, sur la chaîne de télévision France 24, la semaine…
Les députés togolais viennent d’adopter une nouvelle Constitution passant d’un régime présidentiel à un pseudo régime « parlementaire ». Cette modification, la troisième du genre – si elle est promulguée – ne sera ni plus, ni moins qu’un coup d’Etat. Par Boris Toble, citoyen togolais, avocat au Barreau de Paris.
C’est une évidence aujourd’hui et personne ne peut le contester. Nos jeunes filles togolaises, en tout cas la grande majorité de celles qui sont sur les réseaux sociaux sont des stripteaseuses, elles ne font que dans l’exhibition.
L’informatique est contenue dans une lettre confidentielle, le 28 février 2023, du ministère des Affaires étrangères du Burkina au ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères de la République française.
Une analyse profonde des sorties publiques de la DMK sur l’actualité togolaise fait ressortir une certaine posture de ce regroupement de partis politiques. Et une expression redondante dans ses communiqués, c’est « la DMK exige… ». L’expression devient bien trop elliptique et on se demande par quels moyens la DMK compte contraindre le gouvernement à accéder à ses exigences.
L’arrestation de 49 soldats originaires de la Côte d’ivoire le dimanche 10 Juillet dernier a provoqué une crise diplomatique entre Bamako et Abidjan. Le Togo s’est invité dans cette crise comme médiateur afin que les deux pays fument le calumet de la paix et que les soldats recouvrent leur liberté. Un mois après, où en sont les discussions ?