Dans le territoire d’Irumu, province de l’Ituri en République démocratique du Congo, des présumés rebelles ADF s’en étaient pris, dans la nuit du 19 au 20 décembre, aux populations civiles tuant 12 personnes.
Cette sentence est « perçue à Mwene-Ditu comme un signal fort pour décourager les malfaiteurs », souligne la radio des Nations unies en République démocratique du Congo.
Dans la journée d’hier samedi, la tension a été vive dans trois villages de la chefferie de Walendu Watsi, suite à cette attaque.
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Ces morts sont pour la plupart occasionnées « par des écroulements des murs, des éboulements de terre, des inondations et quelques-unes, par des électrocutions », a rapporté Radio Okapi.
Lors de son déplacement sur les lieux du drame à Matadi Kibala, le Directeur général de l’Office des routes, Jeannot Kikangala parle de « catastrophe naturelle », lit-on.
« A la base de ces accrochages, le meurtre du directeur d’une école de Loga par des présumés miliciens de Zaïre. Ce qui a excité la colère des miliciens de la CODECO dont la victime est originaire (…) », renseigne la radio des Nations unies en République démocratique du Congo.
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L’attaque qui était survenue le jeudi 8 décembre 2022, à 5 heures du matin. Elle a occasionné la mort de six personnes, dont trois militaires. Un capitaine de l’armée a été également blessé, a indiqué le député national Guy Musomo, selon des journaux congolais en ligne.
« Le drame s’est passé à Kamango, localité de la chefferie de Watalinga, dans le territoire de Beni », a rapporté jeudi Radio Okapi.
