Après avoir déposé une plainte à l’Inspecteur général des services juridictionnels et pénitentiaires, dame Ayelé Kouevi Dodji saisit le ministre de la Justice et Garde des sceaux Puis Agbétomey. Madame Ayelé ne digère pas les subterfuges utilisés par son époux, Muhemedy-Mohamet Kuamé, pour « annuler en catimini » leur mariage civil contracté en 2014. Dans son courrier, la plaignante demande au ministre de la Justice d'user de toutes ses prérogatives pour qu’elle et ses deux filles puissent être restaurées dans leurs droits. Lisez plutôt !