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Niger- La DMP contre « toute idée d’intervention militaire »

Dimanche 06 août 2023. C’est le deadline imposé aux militaires putschistes du Niger d’abandonner le pouvoir et de rétablir le président déchu Bazoum dans ses fonctions. La CEDEOA menace même d’utiliser la « force » si besoin. Dans un communiqué, la Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP) exprime son soutien au peuple du Niger et s’oppose à toute intervention militaire de la CEDEAO dans ce pays.

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L’intervention militaire de la CEDEAO au Niger « doit être prise très au sérieux », assure la France

La junte a jusqu’au 6 août pour rétablir l’ordre constitutionnel sinon il y aura une intervention militaire au Niger pour que Mohamed Bazoum retrouve son poste de président de la République. C’est l’ultimatum de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO), une décision soutenue par la France.

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Niger-CEDEAO conclut sa réunion sur une possible intervention militaire

Les dirigeants des forces armées et de la défense d’Afrique de l’Ouest ont élaboré un plan d’intervention militaire potentielle afin de renverser le coup d’État survenu la semaine dernière au Niger. Ce plan inclut des stratégies de déploiement des forces, ainsi que des considérations sur le moment opportun pour agir. La réunion s’est clôturée ce vendredi 4 août 2023.

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CEDEAO–Coups d’Etats : Georges Weah dénonce une approche à deux vitesses

Le Président libérien Georges Weah a récemment fait une sortie sur la problématique des coups d’Etats militaires qui deviennent récurrents dans la sous-région ouest africaine. Selon des propos rapportés par plusieurs médias, Il aurait fustigé la complaisance de la CEDEAO à l’égard des coups d’Etats institutionnels alors qu’elle s’offusque des coups d’Etats militaires.

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Guinée–Mali–Burkina Faso–Niger : Quelle issue au front commun contre la CEDEAO ?

Il y a six mois, une rencontre tripartite inédite avait réuni, à Ouagadougou, les ministres malien, burkinabè et guinéen des Affaires étrangères. Une occasion saisie pour sceller un front uni entre trois pays en cours de transition, ayant tous les trois connus un coup d’État militaire et, à ce titre, suspendus, tous les trois. Certes toujours membres des organes de l’Union africaine et de la CEDEAO, ils ne seront autorisés à siéger, à nouveau, dans les instances de ces organisations que lorsque l’ordre constitutionnel y sera rétabli. Avec la récente prise du pouvoir par l’armée au Niger, le rang des « frondeurs » s’élargit et inquiète les tenants de la diplomatie conventionnelle.