Les Togolais n’ont pas vu venir cette dernière augmentation des prix du carburant. Surtout qu’il y a quelques semaines, le gouvernement avait annoncé des mesurettes pour, dit-on, soulager les populations et leur permettre de faire face à la vie chère.
Ceux de l’autre côté de la grande barrière qui coupe ce pays en deux, ne peuvent sans doute pas s’imaginer ce que c’est que 120 f CFA d’augmentation du prix du litre d’essence en quelques semaines, par exemple, pour nos frères les conducteurs de taxi-moto qui peinent à ramener chaque soir 2000 f CFA pour nourrir leur famille et recommencer une nouvelle journée de travail.
De Dakar à Cotonou, les Etats de l’Afrique de l’ouest prennent des dispositions pour soutenir le pouvoir d’achat largement affaibli par la cherté de la vie.
Depuis la survenue de la pandémie de Covid-19 en début d'année 2020, tous les pays du monde ont vu leurs économies se déstructurer et se désorganiser. Les pays dont les économies ont déjà pu développer une résilience, s'en sont plus ou moins bien sortis, alors que les nôtres aux économies particulièrement fragiles et vulnérables, ont pratiquement sombré dans le chaos plongeant leurs peuples dans un dénuement assez inquiétant.
Nouvelle édition de l'émission "Echo du Togo" sur la chaîne YouTube "Ahoé Tv". Les invités Emmanuel Sogadji de la Ligue des Consommateurs du Togo (LCT) et le journaliste Anani Sossou se prononcent sur la vie chère au Togo.
La population togolaise fait face depuis quelques mois à la hausse des produits de première nécessité. Un coup sec porté au panier de la ménagère déjà affaibli par la crise sanitaire liée au Coronavirus.
Dans une tribune libre, Francis Pedro Amuzun de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) se prononce sur la situation sociopolitique du pays. L’homme politique ne reste pas indifférent à la misère de ses compatriotes. Il exprime son indignation, dénonce la mauvaise gouvernance érigée en règle au Togo.
La Génération d’Impact vent debout contre la cherté de la vie. Après la hausse des prix des denrées alimentaires qui n’est toujours pas digérée, les togolais font face à nouvelle corvée, celle de l’augmentation de l’essence en temps de crise sanitaire liée à la Covid-19.
