153 hectares. C’est la totalité de la superficie du terrain que revendique la collectivité dénommée Tchakan, qui est visiblement pris dans étau dans un litige foncier avec d’autres collectivités frères. Devant la presse lundi, les Tchakan ont vivement protesté contre l’injustice dont ils sont victimes et exigent l’intervention des autorités judiciaires compétentes.