À Lomé, Nyamsi revêt la robe… et dévêt le panafricanisme
Dans une chronique cinglante, l’écrivain togolais David Kpelly convoque Diderot pour raconter, en miroir, la métamorphose de Franklin Nyamsi au…
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Dans une chronique cinglante, l’écrivain togolais David Kpelly convoque Diderot pour raconter, en miroir, la métamorphose de Franklin Nyamsi au…
Dans un récent post, l’écrivain togolais David Kpelly revient sur une scène bouleversante captée lors des Evalas 2025 : celle d’un homme famélique, implorant de la nourriture devant le président du Conseil, Faure Gnassingbé. Plus qu’un simple geste de détresse, l’auteur y voit un acte de courage brut, une dénonciation silencieuse mais éclatante des inégalités et de la misère chronique dans un pays pourtant en paix. Une interpellation directe au pouvoir.
Se mêler de la politique togolaise, en se rangeant du côté des forces de l’opposition, est une aventure très éreintante. Pas seulement à cause du caractère jusqu’au-boutiste du régime togolais, mais également à cause des » alliés et camarades de lutte » qu’on s’y fait, souvent malgré soi .
Dans son ouvrage « La nuit est longue, mais la révolution vient », paru aux Éditions Amanda, l’écrivain togolais Gnimdewa Atakpama livre…
Au Togo, l’alternance politique, ce rêve caressé par tant des Togolais, semble désormais hors de portée. Avec la Ve République…
L’artiste togolais tourne la page de la musique pour se consacrer à autre. L’activiste David Kpelly fait partie de ceux qui admirent l’œuvre laissée par le désormais ex-rappeur.
Dans « La poétesse de Dieu », son dernier roman, David Kpelly passe par le polar pour décrire les maux du Mali avec ses mots et ses phrases parfois cinglants.
Considéré comme le roman de l’année (sic), « La Poétesse de Dieu » a été au cœur d’un Café Littéraire samedi 24 décembre dernier à Lomé. L’occasion pour l’auteur David Kpelly de répondre aux différentes questions que se posent bon nombre de lecteurs, après avoir dévoré ce chef d’œuvre de 302 pages, sorti en mars dernier aux Editions L’Harmattan.
Le nouvel opus de l’écrivain togolais David Kpelly sera au menu d’un Café Littéraire ce 24 décembre 2022 à 15 heures à Lomé.
L’auteur de plusieurs ouvrages a profité, ce samedi 8 octobre 2022 à Lomé, lors d’un café littéraire autour de son dernier roman « La Poétesse de Dieu » pour s’ouvrir davantage au public.
A l’heure où l’Afrique de l’Ouest est en proie à une résurgence de coups d’État, l’écrivain togolais et activiste a notamment salué un des dirigeants militaires « les plus dignes ayant conduit la destinée de nos États ».
Et c’est lorsque, salarié, surtout dans le privé, on vous assignera des objectifs à atteindre, des défis à relever, des responsabilités à endosser que vous comprendrez réellement ce que c’est que ne pas pouvoir dormir la nuit.
« L’ Afrique est assez vaste, assez diversifiée, assez vieille et assez nantie pour se débrouiller sans un maître, qu’il soit français ou russe. »
David Kpelly, écrivain togolais et activiste, se prononce sur le discours du premier ministre malien, Abdoulaye Maiga, lors de la 77e Session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies à New York.
« Sortons des illusions ! La Côte d’Ivoire, ni aucun pays sur terre qui se rêve grand et puissant, ne contribuera à la construction d’un autre pays. Au contraire. Toute déstabilisation d’un pays voisin est une occasion en or pour tout pays ambitieux de mieux asseoir sa prospérité. Ça sonne cynique. Mais c’est vrai. Ça a toujours été ainsi. Hélas. »
Depuis une semaine, circule une interview vidéo de la méga star ivoirienne Alpha Blondy face au journaliste français de TV5 Monde Patrick Simonin. Dans cet entretien, le chanteur septuagénaire ivoirien qui totalise plus de quarante ans de carrière s’en prend vertement à l’Occident et aux Occidentaux, les Français notamment, les accusant dans un langage cru d’être la cause de la pauvreté de l’Afrique, les commanditaires du terrorisme dans le Sahel…
L’écrivain et activiste politique togolais David Kpelly rappelle qu’il est important de soutenir les Eperviers « qui ont si vaillamment défendu (les) couleurs nationales, mais que le pays a abandonné dans leurs moments difficiles ».
Gnimdewa Atakpama, homme politique, a lu « Poétesse de Dieu » (Editions L’Harmattan, 302 pages), un roman de David Kpelly, écrivain, enseignant et activiste politique vivant aujourd’hui à Bamako. Il en fait un résumé à la fois simple et captivant.
Il est togolais mais vit au Mali depuis quatorze ans. Directeur Général Adjoint de l’Institut supérieur de Technologie appliquée et de Gestion de Bamako et enseignant de management à l’Université Montplaisir de Tunis à Bamako, David Kpelly est écrivain et activiste politique. Il vient de sortir son septième livre, un roman intitulé « La Poétesse de Dieu » paru ce mois à Paris, aux éditions L’Harmattan. Nous avons lu le livre et en parlons avec lui.
L’écrivain togolais David Kpelly n’a pas encore rangé sa plume. Le Prix littéraire France-Togo 2010 vient de signer son retour en librairie avec un nouveau chef d’œuvre intitulé : « La Poétesse de Dieu ».
Ma position sur ce qui se passe actuellement en Ukraine est claire et simple. Je suis profondément contre la folie sénile du gâteux Vladmir Poutine.
Tout ce que la France demande aux pays africains, c’est d’embrasser la démocratie et le respect des institutions, et d’arrêter avec les coups d’état sauvages. Comprenons l’attitude d’Emmanuel Macron et de Le Drian vis-à-vis des juntes au Mali et en Guinée.
Les nouveaux bus de la Société des Transports de Lomé (SOTRAL) ne fait pas l’unanimité. Les matériels roulants suscitent beaucoup de controverses tant au niveau des acteurs politiques que ceux de la société civile.
Maintenant que tout est fini, félicitons le Cameroun pour cette belle CAN. Organiser une telle compétition dans le contexte actuel n’était pas gagné. Ils ont tenu et se sont battus par tous les moyens pour réussir à le faire. Et cela est déjà une réussite que ne pourront éclipser ou ternir les quelques couacs dans l’organisation.
Je vois beaucoup de personnes qui publient cette photo de 2013 où Monsieur François Hollande, alors président de la France, avait été reçu en héros à Bamako, après les premières réussites de l’intervention français au Mali contre l’avancée des terroristes islamistes.
Qu’on se dise ceci. L’une des occasions dans lesquelles je me sens le plus fier de notre sous-région ouest-africaine, c’est quand je débarque aux aéroports d’Abidjan, de Dakar, de Ouaga, de Cotonou, sans me tracasser avec des histoires de visa, avec, en poche, mes CFA que je ne suis pas obligé de changer.
Ils se sont fait passer pour des nouveaux Sankara, Modibo Keita, Lumumba, Rawlings… ceux qui étaient prêts à s’ouvrir le ventre pour sauver l’Afrique. Mais on attend leur voix devant le destin du Mali: on ne les entend point.
Le Togo est finalement devenu une tristesse infinie. Et un cauchemar sans fin pour une très grande partie de ses filles et fils.
Depuis son premier roman « Femme infidèle », publié en 1988, l’écrivain franco-togolais Sami Tchak a, en trois décennies, construit une œuvre riche et exigeante composée d’une vingtaine de romans et d’essais qui font voyager le lecteur entre le Togo, l’Afrique, la France, et l’Amérique latine. Une œuvre dont les thèmes les plus récurrents sont : l’immigration, la sexualité, la violence, le racisme, le pouvoir, la vieillesse…
Jean-Paul ! Depuis hier matin, j’ai cherché des mots pour dire ma colère, mais je n’en ai pas trouvé. Et j’ai compris que ce qui m’anime depuis la nouvelle de ton arrestation brutale à Lomé où tu es en vacances n’est pas de la colère, mais une profonde lassitude qui me prive de mots.
Sur une plage déserte, sûrement celle de Lomé, une jeune femme, la trentaine, fixe le vide, le regard profond et serein, comme si elle est en train d’interroger l’éternité ou quelque dieu. Elle porte une chemise bleue rayée sur une culotte noire. A un son bras gauche, elle a accroché un sac à main noir, et sa main gauche tient un téléphone portable. Sur la photo, les internautes ont écrit : « RIP, Ornella. »
Quelle relation y-a-t-il entre la campagne de vaccination anti Covid-19 du gouvernement togolais et la pièce de théâtre « Nicodème » de Pierre Corneille ? Réponse dans cette chronique de David Kpelly. Lecture!
La semaine dernière, un jeune artiste togolais du nom de Alerik qui souffrait de la fièvre typhoïde, a perdu sa vie au Centre Hospitalier Universitaire Sylvanus Olympio de Lomé (CHU) par manque de place. Ce nouveau décès vient illustrer le destin tragique de naître, vivre et mourir au Togo. L’écrivain togolais David Kpelly, dans cette chronique, se demande si pour une raison que nous ignorons, des gens n’ont pas décidé de nous tuer un à un dans ce pays. Lisez plutôt !