Le 30 août : Quand les dates se vengent des dictateurs
Ils ont volé nos symboles, détourné nos dates, effacé notre mémoire. Mais l’histoire a une façon bien à elle de…
Ils ont volé nos symboles, détourné nos dates, effacé notre mémoire. Mais l’histoire a une façon bien à elle de…
Dans son ouvrage « La nuit est longue, mais la révolution vient », paru aux Éditions Amanda, l’écrivain togolais Gnimdewa Atakpama livre…
Dans sa toute dernière allocution à l’Assemblée générale des Nations Unies, le président américain sortant Joe Biden a lancé un appel retentissant à la communauté internationale. “Il y a des choses encore plus importantes que de rester au pouvoir”, a-t-il déclaré, esquissant les contours d’une vision audacieuse pour un ordre mondial renouvelé. Mais au-delà des mots, quelle portée concrète cette vision pourrait-elle avoir pour un pays comme le nôtre ?
Dans le cadre de l’insécurité qui sévit dans le Nord du Togo, le confrère “L’Echiquier” s’est entretenu avec Gnimdéwa Atakpama, numéro 2 du Parti des Togolais. Bonne lecture.
Gnimdewa Atakpama, homme politique, a lu « Poétesse de Dieu » (Editions L’Harmattan, 302 pages), un roman de David Kpelly, écrivain, enseignant et activiste politique vivant aujourd’hui à Bamako. Il en fait un résumé à la fois simple et captivant.
Il y a quelques jours, monsieur Ihou Watéba a affirmé sur des médias de la place que la décision de fermer une nouvelle fois les lieux de culte dans le cadre de la lutte contre le coronavirus au Togo était une proposition des responsables religieux eux-mêmes.
Cette-fois, ce n’est plus à ses confrères de l’opposition que Gnimdéwa Atakpama adresse particulièrement ses pensées, mais à la jeunesse togolaise. Le délégué national aux affaires intérieures du Parti des Togolais invite les jeunes togolais à reprendre en main la lutte. Lisez plutôt!
Dans ce deuxième épisode de sa tribune titrée : ”Lutte pour la démocratie au Togo : les leçons de l’heure”, l’opposant Gnimdéwa Atakpama du Parti des Togolais invite ses confrères de l’opposition démocratique à réorienter le combat politique, en sortant du schéma élection-contestation-répression-dialogue établi depuis trente (30) ans. Bonne lecture.
Mercredi, une délégation composée des leaders politiques et des organisations de la société civile a rendu visite à l’opposant Djimon Oré détenu dans les locaux du Service central de recherche et d’investigations criminelles (SCRIC).