Vendredi 13 janvier 2023 prochain sera le soixantième anniversaire de l’assassinat du premier Président de la République togolaise, le père de la nation, Sylvanus Olympio. A l'Alliance Nationale pour le Changement (ANC), un programme est concocté pour commémorer cet anniversaire.
Dans son message de vœux de nouvel an, le Maire du Golfe 4, Jean-Pierre Fabre invite ses administrés à faire preuve de civisme cette année 2023, en évitant de jeter des ordures un peu partout dans la commune, surtout dans les caniveaux, de transformer les trottoirs en marchés en y installant des étalages et des conteneurs. Il les exhorte également à ne pas laisser voler les compteurs des feux tricolores. Lisez plutôt!
Dans son message de vœux pour le nouvel an, le président national de l'Alliance Nationale pour le Changement invite les Togolais à rester déterminés en vue « d’une mobilisation générale décisive, dans un grand mouvement citoyen de libération nationale » en 2023.
Le Maire Jean-Pierre Fabre et son équipe étaient mardi sur le terrain pour constater l’état d’avancement des travaux de réhabilitation et d’extension du réseau d’éclairage public actuellement en cours sur son territoire.
Le parti politique de l'opposition togolaise l'Alliance Nationale pour le Changement (ANC) célèbre ce 10 octobre 2022 son douzième anniversaire. A l'occasion, son président national Jean-Pierre Fabre adresse un message d'espoir aux militants. Lecture.
L'Alliance Nationale pour le Changement interpelle le gouvernement togolais sur les manifestations publiques. Dans une lettre adressée au premier ministre du Togo, le parti de Jean-Pierre Fabre appelle "instamment le gouvernement à mettre fin à la situation de deux poids, deux mesures qui prévaut dans le pays".
Dans une interview accordée au confrère «L’Echiquier » dans sa parution N°88, Monsieur le Maire Jean-Pierre Fabre, président national du parti l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC), livre son avis sur la situation sociopolitique du pays. Décentralisation, échéances électorales, refondation de l’ANC, démocratie, terrorisme... Jean-Pierre Fabre dit tout sans concession.
A 70 ans, Jean-Pierre Fabre est toujours un vert homme, et son esprit reste vif et alerte. Les trente dernières années de lutte politique contre le pouvoir en place l’ont immanquablement touché, mais guère rétamé physiquement, au point qu’il garde toujours de beaux restes pour continuer le combat démocratique. De la lutte politique, il sait qu’il en a pris pour son grade. Ce n’est pas tant les échecs itératifs lors des élections qui turlupinent cet homme convaincu de l’inéluctabilité d’un changement démocratique, mais les zizanies de l’opposition alimentées par un certain populisme et la gangrène des réseaux sociaux. Les stigmates des déceptions perlent comme les mots amers qui sortent parfois de sa bouche.
Cependant rien n’entame son aspiration à la démocratie, ni éteint ses espoirs d’homme politique, d’où sa participation aux dernières élections locales qui l’ont porté à la tête de la commune du Golfe 4, prétendument la plus riche commune de Lomé. Il savait les dés du processus de décentralisation pipés, mais il y est allé avec la détermination et le fol espoir d’un David contre Goliath, enfin de porter les coups autant que faire se peut.
Il nous livre ici ces deux années d’expérience en tant que maire d’opposition, évoque la vie de son parti l’ANC, le théâtre politique, l’avenir du Togo, et son propre destin national.
« Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice » (Montesquieu). « La raison du plus fort est toujours la meilleure », écrivait Jean de La Fontaine dans la fable « Le loup et l’agneau ». Pour le poète français, le vainqueur dans un débat ou dans un conflit est toujours celui qui, par nature, est le plus fort ; quel que soit le bien-fondé des arguments de son adversaire, il aura raison de lui et arrivera à ses fins. Cette assertion est assez illustrative de la situation politique au Togo où l’opposition, quelle que soit la pertinence de ses arguments, n’a jamais eu raison devant le régime de Faure Gnassingbé.