Malgré ses deux diplômes, l’un en communication et l’autre en logistique, la Togolaise Anapidédé Kibandou Betema peinait à trouver du travail. Mais ayant grandi dans la ferme de son père, elle savait faire pousser des légumes et élever des poulets.
C’est une évidence aujourd’hui et personne ne peut le contester. Nos jeunes filles togolaises, en tout cas la grande majorité de celles qui sont sur les réseaux sociaux sont des stripteaseuses, elles ne font que dans l’exhibition.
Une opportunité entièrement financée est ouverte aux jeunes engagés à travers le continent, y compris les Togolais, pour participer au Forum Humanitaire des Jeunes de l'UA, prévu du 15 au 17 mai 2023 à Antananarivo, Madagascar.
La construction continue de sociétés durables ne peut se faire en marge de l’imagination, des idéaux et de l’énergie des jeunes. Aussi, fallait-il cesser de voir la jeunesse sous le seul angle de victimes des mutations sociales.
Bientôt la reprise des différents championnats de football en Europe, les togolais sont plus excités que les Lionel Messi, Cristiano Ronalo, Sadio Mané et compagnie. Il ne faut pas croire que cet intérêt est purement sportif. Loin de là ! derrière chaque match de football disputé, au moins un togolais entretient l’espoir de gagner de l’argent parce qu’il y a fait un pari.
Le mot est à l’air nouveau. Pourtant il est aussi vieux que la langue française. Mais c’est par le truchement des réseaux sociaux qu’il est remis à jour. Pour les férus des réseaux sociaux gratuits en Afrique comme tik tok, YouTube, WhatsApp, télégramme, Snapchat, Instagram etc…, il ne passe un seul jour sans que le mot « influenceur » ne sortent de leur discussion. Et au regard des défis de l’Afrique actuelle, on est en droit de se demander, quels influenceurs pour quelle influence sur quels influencés ?
Plan International Togo et le Réseau de Lutte contre la Traite des Enfants au Togo (RELUTET) ont fait la revue du projet « Child Right Governance » à l’occasion de l’atelier bilan de l’année 3.
Plan International Togo et ses partenaires Radar et Adesco ont organisé un gala de football dans la préfecture de Mô. Objectif : renforcer l’estime de soi chez les jeunes filles et déconstruire les stéréotypes de genre. Cette première édition a regroupé six équipes venant de Djarkpanga, Gnézimdè, Kagnigbara, Tindjassi, Saïboudè et de Boulohou.
L'installation du Conseil consultatif des jeunes de Plan International Togo a eu lieu hier à Lomé et dans les 4 autres bureaux. Une trentaine de jeunes issus de toutes les principales villes du Togo (Lomé, Tsévié, Atakpamé, Sokodé, Kara et Dapaong) et des agents de Plan International Togo ont pris part à cette cérémonie.
