Ceux qui, désormais, utiliseront les images de Faure Gnassingbé pour des campagnes publicitaires vont devoir répondre devant la justice, menace le ministre de la communication et des Médias.
Le dernier espoir de la Présidence togolaise de voir l’ancienne conseillère de Faure Gnassingbé, Reckya Madougou libérée, s’est effondré comme un château de cartes. Patrice Talon est resté droit dans ses bottes et n’a pas fléchi.
C’est une affaire de détournement déguisé de plus d’un demi-milliard de FCFA d’un client, la société TELE MOBIL INTERNATIONAL (TMI), à l’Union togolaise de banque (UTB), par le biais des déblocages automatiques courant année 2018. Condamnée le 17 mars 2021 par le Tribunal de commerce alors que c’est elle-même qui a assigné la société en justice, la banque a interjeté appel le même jour. Mais tout est manifestement tramé pour empêcher le prononcé du verdict et l’affaire est pendante devant la Cour d’Appel depuis un an et quatre mois. Pendant ce temps, les affaires de la société sont à l’arrêt. Un mauvais signal pour les investisseurs.
Son nom est complètement rayé des radars. Du moins, au 228 où plus personne n’entend plus parler d’elle. A ses heures de gloire, elle était sur tous les fronts, aux côtés du jeune doyen et même battait campagne pour lui. Il arrivait qu’on l’aperçoive à plusieurs endroits à la fois comme si elle avait le don d’ubiquité. Elle, c’est bien sûr dame « Reckyatou ». Il fut un temps, nos voisins de l’Est avaient même oublié qu’elle était leur sœur tant elle s’était trop bien intégrée au 228.
Rigathi Gachagua, le député et colistier de William Ruto, candidat à la présidentielle kényane, est reconnu ce jeudi 28 juillet coupable de détournement d’argent public estimé à 1,7 millions d’euros.
Selon 24 Heures au Bénin qui a rapporté l’information, l’affaire qui remonte à 2019 a été tranchée le vendredi 25 juillet 2022 par le par tribunal de Cotonou.
Yankuba Badjie et Cie, souligne le journal gambien en ligne, sont reconnus coupable du meurtre de l’opposant Solo Sandeng. Le responsable du Parti démocratique unifié (UDP), rappelons-le, est mort en détention en avril 2016 sous l’ère Yayah Jammeh.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) statuant en matière criminel a donné son verdict vendredi, rapporte ce jour 24 Heures au Bénin.