Aucune demande de rançon n’a été signalée, pour l’instant. Cependant, les enlèvements avec demandes de ransont fréquents dans cette région du Nigeria confrontée à la crise sécuritaire, en raison de la présence de Boko Haram, d'après toujours les informations.
Le chef d’établissement d’enseignement enlevé, le 21 mars, dans la commune de Kétou, a été libéré après une semaine de captivité.
Le Directeur du CEG...
Selon Daabaaru, une source proche a confié que les ravisseurs réclament une rançon de 10 millions francs Cfa pour la libération des deux jeunes hommes. Sous menace de les exécuter.
« Les ravisseurs ont surgi dans son domicile et l’ont obligé à les suivre. Selon les informations, ils auraient pris la direction de Kompa, un autre arrondissement de la commune », apprend-t-on ce jour de 24 Heures au Bénin.
Après environ deux mois d'interruption sans aucun enlèvement signalé à Ogbomoso, dans l'État d'Oyo, les ravisseurs sont retournés dans la région où un Togolais est maintenant victime.
Au moment où dans certains pays autour de nous on assiste à la révolution kaki, expression d´un ras-le-bol des populations à cause de la mauvaise gouvernance, au Togo, pays qui concentre aujourd´hui tous les maux possibles dus à une gouvernance inhumaine cinquantenaire, l´eau continue à couler sous les ponts et dans les ruisseaux comme si de rien n´était.
Depuis une semaine, un cyber activiste de grande réputation, proche d’Agbéyomé Kodjo qui, à la suite de la présidentielle de 2020, réclame toujours sa victoire, a été arrêté à Lomé. Opposant de longue date, ce virulent tribun populaire au sein de la diaspora était de court passage chez une amie à Lomé. Depuis, la gendarmerie qui détient Jean Paul Oumolou dans des conditions mystérieuses n’a pas dit grand-chose sur ce qu’elle lui reproche mais nous en savons un peu plus.