Mali : Le journaliste Alfouseini Togo incarcéré, la presse appelle au respect des libertés fondamentales
Le journaliste Alfouseini Togo, directeur de publication du journal Le Canard de la Venise, a été placé sous mandat de…
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Le journaliste Alfouseini Togo, directeur de publication du journal Le Canard de la Venise, a été placé sous mandat de…
En pleine révision des listes électorales 2025, Albert Agbéko, journaliste et directeur de Togoscoop, a été brutalement interpellé et intimidé,…
Le Comité de protection des journalistes (CPJ) demande aux autorités togolaises de « libérer immédiatement et sans condition les journalistes Loic Lawson et Anani Sossou ».
Dans un rapport lancé à l’occasion de la Journée africaine de lutte contre la corruption, Amnesty International a dénoncé les “arrestations”, “harcèlement”, “détention” et “même la mort” de défenseurs des droits humains luttant contre la corruption dans 19 pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre. Parmi les pays cités par Agnès Callamard la dirigeante de l’organisation, il y a le Togo. Elle est revenue sur la situation des collègues qui étaient récemment contraints à l’exil.
Appelez ça comme vous le voulez : bâillonnement, étouffement, contrôle, étranglement, répression, musèlement, etc., etc. Moi je préfère le tout dernier : musèlement, que vous avez aussi la possibilité d’écrire avec 2 fois la lettre « l » : musellement, deux lettres qui sonnent comme deux lames, qui représentent de véritables bistouris pour les chirurgiens de la hache, ah ! je voulais dire HAAC, elle-même proche de la hache véritable, comme celle dont on parlait dans les années 80 (sur le campus de l’Université du Bénin), hache qui servirait, pour certains enseignants –disait-on du moins – à hacher des étudiants, par le biais de notes minables, afin que ces étudiants échouent. En tout cas, c’est ce qui se disait. Mais, passons !
Le Comité pour la protection des journalistes rendra hommage à quatre journalistes extraordinaires de Géorgie, d’Inde, du Mexique et du Togo en leur décernant le Prix international de la liberté de la presse 2023.
Nouveau communiqué conjoint du Réseau de la Coordination de la Diaspora Togolaise Indépendante (RCDTI) et du Collectif pour la Vérité des Urnes-Togo-Diaspora (CVU-Togo-Diaspora) sur la dernière visite de Faure Gnassingbé à l’Elysée. Face au régime cinquantenaire des Gnassingbé, le Peuple togolais n’a d’autres options que de se refonder à partir de la reconstruction d’un contre-pouvoir avec tous les citoyens et des groupes d’organisations citoyennes indépendants, indiquent les deux organisations. Lecture.
Le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) a une nouvelle fois réagi aux défis de la liberté de la presse au Togo. Il s’agit cette fois-ci du collègue Edouard Kamboissoa Samboe, qui aurait subi une menace des forces de défense et de sécurité togolaises dans l’exercice de ses fonctions de journaliste.
En cette Journée Mondiale de la liberté de la presse, l’Ambassade des Etats-Unis au Togo a adressé “une pensée spéciale” aux professionnels des médias togolais qui subissent des persécutions dans l’exercice de leur fonction de journaliste
Lors d’une rencontre ce mardi à Lomé avec les organisations professionnelles et les syndicats des hommes des médias, le ministre Akodah Ayewouadan de la Communication et des Médias a laissé entendre qu’il est déterminé à protéger la liberté de presse au Togo.
Le parti Forces Démocratiques pour la République (FDR) trouve scandaleuse la condamnation des journalistes Ferdinand AYITE et Isidore KOUWONOU. Me Apévon et les siens fustigent de ce fait, “la sempiternelle instrumentalisation de la justice à des fins politiques”. Par communiqué en date du vendredi 17 mars 2023, les FDR convient les magistrats à cesser d’être des artisans impénitents de l’arbitraire.
Le mouvement Lumière pour un Développement dans la Paix (LDP) s’insurge contre les lourdes peines infligées à Ferdinand Ayité et Isidore Kouwonou, deux responsables du journal l’Alternative. Dans un communiqué rendu public vendredi, l’organisation exige l’abandon des poursuites contre les journalistes dans le dossier qui les oppose au ministère public et interpelle le chef de l’Etat togolais.
Accra, March 6, 2023–Togolese authorities should drop all legal proceedings against journalists Ferdinand Ayité and Isidore Kouwonou and allow them to work free from harassment or threat of arrest, the Committee to Protect Journalists said Monday.
La chaîne privée Walf TV n’émet plus. Ce sera ainsi durant une semaine, sanctionne le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA).
Reporters sans frontières (RSF) demande à la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) d’annuler la décision suspendant de trois mois le quotidien privé togolais ‘’Liberté’’.
Le Patronat de la Presse Togolaise (PPT) dénonce la suspension du quotidien Liberté et du bimensuel TAMPA Express pour une durée de trois mois. C’est une décision dangereuse pour la liberté de la presse, insiste-t-il.
La Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) suspend de nouveau le quotidien Liberté pour 3 mois. Et ce, à compter du jeudi 02 février 2023.
Mi-décembre dernier, une vidéo ayant circulé sur les réseaux sociaux montrant le président du Soudan du Sud, Salva Kiir, dans une situation gênante lors d’une cérémonie officielle.
C´est une tradition que les fins d´année soient devenues le moment de passer en revue l´année qui s´écoule pour faire le bilan et se projeter sur l´avenir. Et le bilan qui nous intéresse ici est celui de l´organisation non gouvernementale «Reporters Sans Frontières» qui défend et veille sur la liberté de la presse à travers le monde. Un bilan publié par l´hebdomadaire allemand «Der Spiegel» dans sa version online, que nous avons lu et résumé.
Le Mouvement du peuple pour la liberté (MPL-ABLODEVIWO) n’est pas d’accord de la lourde condamnation du quotidien privé Liberté. Et il le fait savoir dans un communiqué dont voici le contenu.
Le quotidien Liberté est suspendu pour trois mois. Et ce, suite à l’affaire du jeune tué par balle sur la route de Tabligbo.
Le Togo a connu ce weekend une explosion qui a fait 7 morts au nord du pays, dans une zone à laquelle la lutte contre le terrorisme a imposé un état d’urgence sécuritaire. Le Journal togolais “Liberté” a exprimé ses doutes sur le traitement opaque de l’événement et a été convoqué par la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (Haac).
La liberté de la presse est, de fait, un sujet sur lequel tous les Africains devraient se pencher sérieusement en ce moment. En effet, depuis plusieurs semaines la suspension, puis l’interdiction de RFI et France 24 au Mali, soulève l’indignation des uns et des autres, au nom de la liberté de presse.
“Malgré un paysage médiatique pléthorique, les médias d’Etat ont encore du mal à fournir des informations de service public au Togo. Le degré de liberté de la presse dépend de l’environnement politique”, a déclaré l’ONG française Reporters Sans Frontière (RSF), dont le dernier classement de la liberté de la presse indique que le Togo a nettement reculé cette année.
Quarante huit (48) heures après la parution de l’article intitulé : « Gestion de la commune du Golfe 5/ Et si les raisons de la caisse vide étaient ailleurs ? » dans le numéro 3605 du vendredi 22 avril 2022, le maire de ladite commune a envoyé un message à l’auteur de l’article. « (…) Je vous demande d’arrêter désormais d’écrire des calomnies sur ma personne. Ne continuez plus. Merci. Kossi Agbenyega ABOKA, Maire de la Commune Golfe 5 ».
L’organisation internationale non gouvernementale Reporters sans frontières (RSF) appelle à “la fin de l’emprisonnement pour délits de presse au Ghana”, après que trois journalistes ont été détenus pour divers motifs depuis début février.
Reporters Sans Frontières (RSF) a une nouvelle fois réagi à la libération des deux journalistes togolais arrêtés me mois dernier pour avoir “diffamé” certains membres du gouvernement. Cette fois, l’ONG basée à Paris appelle les dirigeants togolais à lever le contrôle juridique sur les collègues.
Sincèrement, je croyais que dans l’esprit de Noël, on allait libérer nos deux amis journalistes, surtout que l’outrage est supposé être commis contre des gens de Dieu.Finalement cette affaire dépasse l’entendement.
TOGO : Emprisonnement des journalistes, l’image du Togo sombre davantage au plan international
L’« Article 19 », une organisation sénégalaise de défense des droits de l’homme, déplore, dans une déclaration rendue publique, l’arrestation et la détention des deux confrères togolais.
Il a fallu que le Ministre Pasteur Pius Agbetomey porte plainte contre nos confrères Ferdinand Ayité, Isidore Kouwonou et Joël Egah pour l’avoir critiqué dans une émission pour qu’on apprenne des choses sur son passé pas très joyeux.
L’arrestation des journalistes Ferdinand Ayité de L’Alternative, Joël Egah de Fraternité et de l’activiste handicapé Fovi Katakou continue de susciter de la réprobation, même au-delà des frontières. Samedi 18 décembre, ce sont des organisations de la société civile qui ont fustigé ces faits et réclamé la libération de ces compatriotes. Ces organisations appellent « la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples à exhorter le Togo à se conformer à ses obligations légales en vertu des instruments internationaux et africains des droits de l’homme, tels que le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples ». Lire ci-dessous la déclaration conjointe rendue publique à cet effet.
Nouvelle édition de l’émission “La Voix du Peuple” du 14 décembre sur la radio “Avulété”. Au menu du débat, l’inculpation des journalistes Ferdinand Ayité, Joel Egah et Isidore Kouwonou.
Après la sortie du Procureur de la République Talaka Mawama, mercredi nuit sur la TVT, l’avocat des confrères Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou était ce jeudi matin sur les antennes de Taxi FM, dans l’émission Taxi Média Show. Me Elom Kpade s’est prononcé sur le dossier et a surtout relevé que la poursuite contre les journalistes n’est fondée sur aucune base légale. A l’en croire, tout tourne autour de l’appellation de YouTube comme réseau social alors que ni le code de la presse, ni même le code pénal sur la base duquel on poursuit les confrères, n’a défini ce qui est appelé réseau social. Voici la transcription de son intervention.
Le procureur de la République près le tribunal de Lomé fait une intervention dans les JT de 20 heures de TVT ce mercredi15 décembre pour se prononcer sur l’arrestation des trois journalistes dont deux sont placés sous mandat de dépôt.
Les journalistes Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou sont actuellement devant le juge d’instruction. Tous les accès aux Tribunal de Lomé sont bloqués par les forces de l’ordre et de sécurité.
Les confrères Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou seront de nouveau au tribunal ce mardi. Ils seront auditionnés ce matin par le juge d’instruction au fond du dossier dans lequel ils sont inculpés.
Selon Amnesty International, l’interpellation et l’arrestation des journalistes togolais Ferdinand Ayité et Joël Egah constituent “une atteinte à leur droit à la liberté d’expression”. Voici la publication de cette ONG sur le sujet.
New York, December 13, 2021 — Togolese authorities should immediately release journalists Ferdinand Ayité and Joël Egah and halt legal harassment of Isidore Kouwonou, the Committee to Protect Journalists said today.
L’organisation internationale ayant l’objectif de sauvegarder le droit à la liberté presse, Reporters Sans Frontières RSF, demande au autorités togolaises de respecter la dépénalisation des délits de presse et de procéder à la libération du journaliste Ferdinand Ayité.
L’affaire prend une autre tournure. Les confrères Ferdinand Ayité, Joel Egah et Isidore Kouwonou sont actuellement chez le Procureur de la République pour être écoutés.
Notre confrère et ami, Ferdinand Ayité a été interpellé jeudi par la brigade de recherche et d’investigation (BIR), sur plainte semble-t-il, de certaines personnes haut perchées de l’appareil directionnel de notre pays. Son binôme, Joël Egah avec qui il a co-animé l’émission incriminée, serait lui- aussi convoqué pour aujourd’hui vendredi dans le même bureau où le premier a été gardé la veille.
La société opérant dans le domaine de représentation commerciale, négoce, import-export, communication, conseil, commerce général et les BTP, dont le directeur général est cité dans une affaire d’escroquerie portant sur une somme de 9 millions de FCFA, porte plainte contre le quotidien privé Liberté.
Le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), une fois de plus, dans un communiqué de presse le 22 septembre 2021, a appelé le gouvernement togolais à se pencher sur la question des journalistes togolais sélectionnés pour la surveillance des logiciels espions Pegasus
Alors qu’elle a été saisie pour annuler la décision de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) et du tribunal retirant le récépissé à l’hebdomadaire ‘’L’Indépendant Express’’, la Cour suprême a bien tranché depuis mars dernier mais tarde à informer la défense.
Irene Khan,la rapporteuse Spéciale sur la promotion et la protection du droit à la liberté d’opinion et d’expression de l’ONU, interpelle le gouvernement « de veiller à ce que les lois sur la diffamation et l’injure ne soient pas utilisées » contre les journalistes critiques notamment L’Alternative, Liberté, entre autres.
Après trois mois de détention à la prison civile de Conakry, le journaliste Amadou Diouldé Diallo est libéré. Il est accusé d’avoir qu’Alpha Condé, le chef de l’Etat, ambitionne d’« exterminer » la communauté peule dans le pays.
L’ambassadrice des États-Unis d’Amérique au Bénin, Patricia Mahoney a échangé mercredi avec le président de la HAAC, Rémi Prosper sur la liberté de presse.
Près d’une semaine après, le sujet fait toujours l’actualité et occupe les débats. La suspension, le 05 février 2021, du Journal «l’Alternative» par la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (Haac).