Le Comité de protection des journalistes (CPJ) demande aux autorités togolaises de « libérer immédiatement et sans condition les journalistes Loic Lawson et Anani Sossou ».
Dans un rapport lancé à l'occasion de la Journée africaine de lutte contre la corruption, Amnesty International a dénoncé les "arrestations", "harcèlement", "détention" et "même la mort" de défenseurs des droits humains luttant contre la corruption dans 19 pays d'Afrique de l'Ouest et du Centre. Parmi les pays cités par Agnès Callamard la dirigeante de l'organisation, il y a le Togo. Elle est revenue sur la situation des collègues qui étaient récemment contraints à l'exil.
Appelez ça comme vous le voulez : bâillonnement, étouffement, contrôle, étranglement, répression, musèlement, etc., etc. Moi je préfère le tout dernier : musèlement, que vous avez aussi la possibilité d’écrire avec 2 fois la lettre « l » : musellement, deux lettres qui sonnent comme deux lames, qui représentent de véritables bistouris pour les chirurgiens de la hache, ah ! je voulais dire HAAC, elle-même proche de la hache véritable, comme celle dont on parlait dans les années 80 (sur le campus de l’Université du Bénin), hache qui servirait, pour certains enseignants –disait-on du moins – à hacher des étudiants, par le biais de notes minables, afin que ces étudiants échouent. En tout cas, c’est ce qui se disait. Mais, passons !
Le Comité pour la protection des journalistes rendra hommage à quatre journalistes extraordinaires de Géorgie, d’Inde, du Mexique et du Togo en leur décernant le Prix international de la liberté de la presse 2023.
Nouveau communiqué conjoint du Réseau de la Coordination de la Diaspora Togolaise Indépendante (RCDTI) et du Collectif pour la Vérité des Urnes-Togo-Diaspora (CVU-Togo-Diaspora) sur la dernière visite de Faure Gnassingbé à l'Elysée. Face au régime cinquantenaire des Gnassingbé, le Peuple togolais n'a d'autres options que de se refonder à partir de la reconstruction d’un contre-pouvoir avec tous les citoyens et des groupes d’organisations citoyennes indépendants, indiquent les deux organisations. Lecture.
Le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) a une nouvelle fois réagi aux défis de la liberté de la presse au Togo. Il s'agit cette fois-ci du collègue Edouard Kamboissoa Samboe, qui aurait subi une menace des forces de défense et de sécurité togolaises dans l'exercice de ses fonctions de journaliste.
En cette Journée Mondiale de la liberté de la presse, l'Ambassade des Etats-Unis au Togo a adressé "une pensée spéciale" aux professionnels des médias togolais qui subissent des persécutions dans l'exercice de leur fonction de journaliste
Lors d’une rencontre ce mardi à Lomé avec les organisations professionnelles et les syndicats des hommes des médias, le ministre Akodah Ayewouadan de la Communication et des Médias a laissé entendre qu’il est déterminé à protéger la liberté de presse au Togo.
Le parti Forces Démocratiques pour la République (FDR) trouve scandaleuse la condamnation des journalistes Ferdinand AYITE et Isidore KOUWONOU. Me Apévon et les siens fustigent de ce fait, "la sempiternelle instrumentalisation de la justice à des fins politiques". Par communiqué en date du vendredi 17 mars 2023, les FDR convient les magistrats à cesser d'être des artisans impénitents de l'arbitraire.
Le mouvement Lumière pour un Développement dans la Paix (LDP) s'insurge contre les lourdes peines infligées à Ferdinand Ayité et Isidore Kouwonou, deux responsables du journal l'Alternative. Dans un communiqué rendu public vendredi, l'organisation exige l'abandon des poursuites contre les journalistes dans le dossier qui les oppose au ministère public et interpelle le chef de l'Etat togolais.