Édito/Journaliste togolais : la ligne éditoriale n’est pas le déni de la réalité
Quand la presse confond blocage militaire et échec populaire, elle renonce à sa mission première : informer. En effet, le…
Le portail togolais par excellence!
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En pleine révision des listes électorales 2025, Albert Agbéko, journaliste et directeur de Togoscoop, a été brutalement interpellé et intimidé,…
Le Syndicat national des journalistes indépendants du Togo (SYNJIT) a entamé une nouvelle ère depuis le 30 novembre 2024, avec…
Réf :002/09/24TGSYNJIT COMMUNIQUÉ NUMERO 2/2024 (relatif à l’agression essuyée par des Journalistes au siège de la CDPA ce 29 septembre…
Dans cette tribune libre, Ricardo Agouzou, conseiller municipal de la commune Kozah 1, examine le rôle crucial de la presse…
Le journal satirique SIKA’A, également connu sous le surnom de “journal de la bonne humeur”, est disponible dans les kiosques depuis ce matin. Dans sa parution N°548 du 19 juin, ce bimensuel revient de manière sarcastique sur les récentes déclarations de Faure Gnassingbé, faites lors de sa visite à Séoul, concernant la jeunesse ouest-africaine, y compris celle de son pays le Togo.
La presse togolaise est à nouveau en deuil suite au décès de Fidèle Mawuena, chef de la Division Production et Échanges et journaliste sportif à Radio Lomé.
Lancée officiellement le 21 février dernier, la deuxième édition du Togo Médias Awards a connu son dénouement, ce samedi 25 Mai 2024, lors d’une cérémonie de récompense des prix à Lomé.
Le juge d’instruction vient de décerner un mandat de dépôt contre le Directeur de publication du journal « La Dépêche ». Apollinaire Mewenemesse est envoyé en prison après 72 heures de garde à vue à la Brigade de recherche et d’investigation (BRI) de la Police nationale. La presse critique au Togo vient encore d’être privée d’un membre.
Des organisations de la société civile réagissent à la convocation du Directeur de publication du journal “La Dépêche” par la HAAC. Elles dénoncent une énième mise sous éteignoirs de la liberté de presse et d’expression au Togo. Lecture.
Jeudi, la Haute Autorité de l’Audiovisuelle et de la Communication (HAAC) a adressé une lettre de convocation au Directeur de Publication du journal “La Dépêche”, le doyen Apollinaire Mewenemesse.
Nous sommes au Sénégal, pays où le projet de budget du ministère de la Communication pour 2024 a été annoncé la semaine dernière par le ministre sénégalais du même portefeuille dirigé par Moussa Bocar Thiam à l’Assemblée Nationale.
Au Togo, les hommes occupent largement le devant de la scène dans le paysage médiatique, laissant peu de place aux femmes qui osent s’y aventurer. Celles qui font le pas sont fréquemment confrontées au harcèlement et aux stéréotypes de toutes sortes. Jeudi dernier, un débat animé à la Maison de l’Orateur à Lomé a permis d’aborder le sujet et de rompre le silence autour des difficultés que rencontrent les femmes des médias togolais.
En exil depuis quelques mois, le journaliste togolais Ferdinand Ayité a été honoré hier à New York en recevant le Prix international de la liberté de presse de CPJ Africa pour son journalisme d’investigation audacieux au Togo. La réaction de l’ambassade des États-Unis d’Amérique au Togo ne s’est pas fait attendre, saluant cet exploit sur les réseaux sociaux.
“Au moment où le Togo est de plain-pied dans l’opérationnalisation de la couverture maladie universelle, il est nécessaire et important d’impliquer davantage les médias dans le processus de sa mise en œuvre”, a-t-il expliqué.
Dans un communiqué en date de ce lundi 21 août 2023, la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) invite les médias à plus de professionnalisme et au respect de règles professionnelles, déontologiques et éthiques prescrites par les textes législatifs et réglementaires régissant l’exercice du métier de journaliste ou d’animateur d’émissions-débats ou d’émissions interactives. Lecture.
Des entorses faites à la liberté de presse au Togo, le journaliste Carlos Ketohou en parle. Sur sa page Facebook, il regrette le décès tragique des certains confrères.
Mardi, l’opinion togolaise a appris avec consternation, le décès de l’animateur vedette de Radio Victoire FM, Jacob Ahama.
En cette Journée Mondiale de la liberté de la presse, l’Ambassade des Etats-Unis au Togo a adressé “une pensée spéciale” aux professionnels des médias togolais qui subissent des persécutions dans l’exercice de leur fonction de journaliste
Un autre chapitre du feuilleton « chasse aux journalistes critiques » au Togo, notamment Ferdinand AYITE et Isidore KOUWONOU contraints de fuir leur pays, va probablement s’ouvrir la semaine prochaine. La Cour d’Appel de Lomé a envoyé une citation à prévenu à l’avocat des deux journalistes qui sont appelés à comparaître par-devant cette juridiction le jeudi 11 mai 2023.
La condamnation des journalistes Isidore Kouwonou et Ferdinand Ayité dans l’affaire les opposants aux ministres-pasteurs du gouvernement togolais, continue de susciter des réactions.
Le Comité d’action pour le renouveau (CAR) interpelle le gouvernement et les organisations de la presse à une relecture du code de la presse et de la communication surtout en son article 3 alinéa 2 et l’article 155.
Dans une affaire sans tête ni queue, qui semble ne correspondre à aucune logique, deux journalistes ont été condamnés par le tribunal de Lomé à trois ans de prison fermes, la semaine dernière. Une première depuis de nombreuses années mais qui entre dans une succession de faits qui font craindre le pire pour la presse locale. Mais faut-il vraiment s’inquiéter pour les médias qui constituent, avec les partis et mouvements d’opposition, le socle de la résistance dans un pays longtemps autoritaire ?
Au Togo, faut-il vraiment s’inquiéter pour les médias qui constituent, avec les partis et mouvements d’opposition, le socle de la résistance dans un pays longtemps autoritaire ?
Un nouveau coup de massue sur la tête de la presse togolaise. C’est ce qu’il se passe avec la condamnation de deux journalistes à la prison ferme ce 15 mars 2023. Ferdinand Ayité, directeur de publication et Isidore Kouwonou, rédacteur en chef, deux dirigeants du bihebdomadaire « L’Alternative », sont frappés par une décision de justice leur ouvrant les portes de la prison pour 36 mois.
Nouvelle édition de l’émission “La Voix du Peuple” du 11 mars 2023. Les invités du confrère Sylvain Amos se prononcent sur la situation du Directeur de Publication Ferdinand Ayité.
Dans un communiqué, le Patronat de la Presse Togolaise (PPT) réagi au harcèlement judiciaire dont sont victimes les confrères Ferdinand Ayité et Isidore Kouwonou. Le PPT interpelle le ministre en charge de la Protection civile à situer l’opinion sur le cas de Ferdinand Ayité, porté disparu depuis quelques jours. Il l’invite à assurer sa sécurité et son intégrité physique.
Le Dr Kodjo Avuletey, Secrétaire Général de l’Association des journalistes sportifs du Togo (AJST), a été élu, ce samedi 25 février 2023, membre du comité exécutif de l’instance africaine de l’Association internationale de la presse sportive (AIPS).
La presse privée togolaise est entrée dans une refonte profonde avec l’application stricte et rigoureuse du Code de la presse et de la communication. Exit donc la période moratoire accordée aux organes de presse et aux professionnels des médias pour se mettre à jour des nouvelles dispositions contenues dans ce document de référence porteur d’espoirs et d’attentes de lendemains lumineux longtemps rêvés mais souvent refoulés, par actions ou par omission.
Cela fait plus de cinq décennies que le régime togolais cherche à contrôler ou à emprisonner « Liberté ». Cela fait autant de temps que les Togolais défendent leur « Liberté », que ce soit celle d’association et d’opinion ou celle qui leur procure l’information quotidienne.
Le presse togolaise de nouveau en deuil. Le journaliste Augustin Kossi, ex employé à la Télévision togolaise (TVT), en service à la présidence de la République n’est plus.
La Convention Collective des journalistes. C’est le sujet au menu de l’émission L’Autre Journal dans son numéro N°130 2è Partie. Le confrère Alphonse Logo, ancien Secrétaire Général du SYNJIT donne les détails du contenu de cette convention dont la signature a été actée, il y a quelques semaines, par les premiers responsables de la presse togolaise.
La presse togolaise est en deuil. L’ancien président de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC), Philippe Evegnon n’est plus.
Depuis quelques jours, circulent sur les réseaux sociaux, des informations relatives à une affaire d’escroquerie dans laquelle le confrère Théophile Kponhinto, Directeur de Publication du Journal « Le Populiste » serait impliqué.
Le quotidien Liberté ne digère pas la sentence prononcée contre lui dans l’affaire du jeune tué par balle sur la route de Tabligbo. Le confrère compte faire appel de la décision de justice rendue en première instance.
Cette sentence est relative à la plainte déposée contre le journal, son directeur et l’auteur de l’article par le Premier ministre Victoire Tomégah-Dogbé, dans l’affaire du jeune homme tué sur la route de Tabligbo. Une condamnation très sévère à la suite d’un procès expéditif qui dénote de la revanche qui se joue contre le journal.
Les journalistes togolais pleurent l’un de leurs confrères. Il s’agit de Isidore Ayeko. L’homme s’est éteint ce mercredi matin.
Dans un communiqué publié le mardi 19 juillet 2022, le gouvernement togolais a rappelé que la publication des photos des personnes disparues lors des récentes attaques terroristes au nord du pays, est une infraction punissable d’autant plus que ces images sont affligeantes pour les familles endeuillées.
Un an après l’annonce d’une liste de plus de 50 000 numéros de téléphone prétendument sélectionnés pour être surveillés par le logiciel espion Pegasus, les journalistes du monde entier continuent de vivre et de travailler avec la crainte que leurs téléphones puissent être utilisés pour suivre leurs conversations et pénétrer tous les contacts personnels et professionnels, données stockées sur leurs appareils, a rappelé le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) dans un nouveau communiqué publié le lundi 18 juillet 2022.
Quatorze (14) journalistes Togolais ont été primés mercredi à l’occasion de la quatrième édition des Lauriers du Journalisme d’Impact (ljitogo).
Président de l’UPF section Togo depuis mai 2019, Loïc Lawson, Directeur de publication du journal « Flambeau des démocrates », va diriger encore les destinées de l’association de journalistes pour les trois prochaines années.
Le mardi 3 mai 2022 dernier marquait la 29e célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse instituée depuis décembre 1993 par l’Assemblée Générale des Nations Unies. L’événement a été observé au Togo aussi. Mais quel est l’état de cette vertu – liberté de presse – au Togo ? Quid de la santé financière et du bien-être de la presse togolaise ?…Etat des lieux.
L’ambassadeur des États-Unis au Togo, Elizabeth Fitzsimmons a échangé avec un premier groupe de journalistes Togolais, a annoncé ce lundi, son bureau.
Ces dernières années, l’Etat togolais a insisté sur la nécessité pour le secteur des médias de se professionnaliser davantage. A travers le ministère en charge de la Communication et des médias, il s’est fortement impliqué aux côtés des autres acteurs des médias dans la relecture du code de la presse et de la communication. Ce code revisité prévoit désormais des entreprises de presse en lieu et place des organes de presse. L’idée est d’encourager les médias à sortir de l’informel. Aussi, la HAAC a-t-elle dorénavant un droit de regard sur les médias numériques.
Jeudi à Lomé, les responsables du Conseil National des Patrons de Presse (CONAPP) ont procédé au lancement officiel de la 2ème édition de la « la Semaine de la Presse ».
Mardi, le Directeur Général de la radio Taxi FM, Blaise Yao Amedodji alias Blaisot, dénonçait la désunion des professionnels des médias au Togo. Un facteur qui est à l’origine de nombre de maux dont souffrent les hommes et femmes qui appartiennent à cette corporation.
Nouvelle édition de l’émission Fenêtre sur l’Afrique sur la radio Kanal K où un hommage spécial a été rendu au confrère Joël Egah, décédé dimanche 6 mars dernier.
La presse togolaise est en deuil. Le journaliste Joël Egah, directeur du journal Fraternité, est décédé ce dimanche 6 mars 2022, apprend-on de sources proches de sa famille.
L’opposant togolais, « comprend parfaitement que les journalistes se sentent contraints de revenir sur leurs publications dans le but (…) » Au regard des intimidations dont font face souvent les journalistes.
Joël Egah, Directeur de Publication du journal “Fraternité”, a également réagi sur son compte Facebook, quelques jours après sa sortie de prison. A l’instar du confrère Ferdinand Ayité, le confrère Joël Egah n’a pas manqué de remercier tous ceux qui ont milité pour leur libération. Mais il dit aussi sa vérité. Lisez plutôt!
Les confrères Joël Egah et Ferdinand Ayité sont sortis de la prison civile de Lomé le 31 décembre passé. Ils sont placés sous contrôle judiciaire. Sur sa page Facebook, le Directeur de Publication du journal « L’Alternative » a fait une déclaration. Ferdinand Ayité se dit très déterminé à « être du côté de la vérité ». Lisez plutôt !
Ce n’est plus un secret. Hier vendredi aux environs de 16 heures, les confrères Ferdinand Ayité et Joël Egah ont recouvré leur liberté. Ils ont pu passer le réveillon de la Saint-Sylvestre avec leur famille.
Ce vendredi 31 décembre, la justice a décidé de leur mise en liberté provisoire. Les directeurs des journaux « L’Alternative » et « Fraternité », en effet sont placés sous contrôle judiciaire.
Cette organisation internationale de défense de la liberté de la presse et la protection des sources des journalistes demande la libération des deux journalistes demande la libération des deux patrons de presse.
Au Togo, les médias privés qui vivent principalement de ce qu’ils produisent, n’ont plus d’interlocuteurs-partenaires dont la couverture des activités ou la pub elle-même permettrait de renflouer les caisses.
Plaignant, non plaignant puis plaignant. Le rôle du ministre Kodjo Adédzé dans l’arrestation et la détention de Ferdinand Ayité et Joël Egah demeure toujours flou. La sortie du procureur de la République en rajoute à la cacophonie, signe d’une affaire montée de toutes pièces pour nuire à des voix dissidentes.
Voici en partie, ce que Éric Zemmour, lui aussi journaliste et homme politique en France a osé dire du président d’une des Républiques les plus puissantes et les plus inspirantes pour les pays francophones d’Afrique :
Après les confrères Ferdinand Ayité et Joël Egah, c’est au tour du confrère Isidore Kouwonou d’être auditionné par le doyen des juges d’instruction du tribunal de Lomé.
Ce qui se passe aujourd’hui dans notre pays du point de vue de la persécution de tous ceux qui pensent autrement que ceux qui prétendent nous diriger, ressemble plutôt à de la panique. L’impression que tout observateur lucide pourrait avoir sur cette façon de montrer ses muscles de façon disproportionnée et désordonnée de la part du pouvoir togolais, est bien sûr le manque d’assurance au sein de l’autorité dirigeante.
C’est désormais établi, Ferdinand Ayité directeur de publication du journal L’Alternative et Joel Egah, patron du quotidien Fraternité sont sous le coup d’un mandat de dépôt pendant que Isidore Kouwonou, rédacteur en Chef de l’Alternative, est sous contrôle judiciaire. Les deux premiers ont été conduits mardi pour être écoutés au fond du dossier initié sur la base d’une procédure judiciaire en lien avec le code pénal, en lieu et place du code de la presse. Ceci fait la suite à une mystérieuse plainte d’au moins un membre du gouvernement en l’occurrence, le ministre de la justice, garde des sceaux, patron du parquet. Ce dernier aurait piqué une vive colère contre les confrères qui, au cours d’une émission de la chaîne numérique l’Autre Journal, ont tenu des propos que le plaignant considère comme outrageants et diffamatoires à son encontre.