La diva togolaise de la musique togolaise s’est, elle aussi, pliée à l’exercice à l’occasion de la célébration de la Journée internationale des droits de la femme ce lundi 8 mars 2021.
C’est sur sa page facebook qu’Afiawavi Mawulana Cathérine Missohou, mondialement connue sous le nom d’Afia Mala, a tenu à faire une déclaration en l’honneur de celles qui donnent la vie.
En effet, poste-t-elle, “Le monde traverse des moments difficiles. Cela fait plus d’une année que la situation pandémique à coronavirus perdure et fragilise les noyaux familiaux”.
Et d’ajouter : “En ce 8 mars, je tiens juste à féliciter toutes les femmes pour leur bravoure et le rôle capitale qu’elle joue pour la stabilité de leur famille”. Une manière pour la chanteuse de souligner (on l’oublie souvent) que sans la femme le monde aurait été tout autre.
“Protégeons et prenons soin des nôtres comme nous savons si bien le faire. En toute situation, gardons notre calme et prenons du recul pour mieux analyser nos vies. Aujourd’hui, c’est notre journée, Célébrons nos droits!”, lance-t-elle ensuite. A mots voilés, elle appelle donc à regarder dans le rétroviseur pour faire faire le bilan en matière de lutte pour les droits des femmes et se fixer des perspectives face aux nombreux défis qui jonchent encore le parcours des femmes dans leur évolution émancipatrice.
Afia Mala ou la Princesse des rives du monde pour certains, a commencé véritablement à se faire un nom dans le show-biz en 1974 en remportant le troisième Prix de la chanson togolaise. Dix ans plus tard, elle décroche le Prix Découvertes RFI travers la chanson devenue culte “Ten Homte”. S’ouvrent alors devant elle, les portes d’une grande carrière.