Le premier responsable du Parti des Togolais rappelle à ses jeunes compatriotes que leur avenir ne sera construit qu’à travers leur engagement citoyen voire politique d’aujourd’hui.
Nathaniel Olympio, opposant au régime au cinquantenaire, très actif sur les réseaux sociaux, trouve que les jeunes togolais doivent prendre leur destin en main, réfléchir davantage sur leur avenir. « Jeunes Togolais-es, soyez au rendez-vous de votre avenir », leur lance-t-il.
Selon lui, « quand un régime ne veut donner au peuple ni liberté ni démocratie, faire croire à ses concitoyens qu’on peut obtenir ces droits par une discussion ordinaire, même qualifiée de négociation, est au mieux une faute politique au pire une manipulation de l’opinion », dénonçant le fait qu’« on veut vous faire croire » aux jeunes qu’ils peuvent rester inactifs, d’autres se chargeront de leur ramener « la liberté et la démocratie ».
« Un droit, cela se défend et cela se conquiert par celui qui veut en jouir. Les syndicalistes vous l’apprendront davantage », insiste le président du Parti des Togolais, invitant « les jeunes Togolais-es à cesser de croire que l’avenir leur sera construit par autrui ».
« Levez-vous, organisez-vous et défendez votre avenir ! », demande-t-il à la jeunesse, leur promettant qu’il sera « présent à (leurs) côtés ».
Vous avez échoué en tout depuis 1990, beaucoup de togolais-es sont mort pour avoir suivi vos conseils. La jeunesse togolaise est fatiguée par vos discours vides. Battez vous pour vous même et pour vos idées. Laissez la jeunesse togolaise tranquille dans sa misère.
[…] Selon lui, « quand un régime ne veut donner au peuple ni liberté ni démocratie, faire croire à ses concitoyens qu’on peut obtenir ces droits par une discussion ordinaire, même qualifiée de négociation, est au mieux une faute politique au pire une manipulation de l’opinion », dénonçant le fait qu’« on veut vous faire croire » aux jeunes qu’ils peuvent rester inactifs, d’autres se chargeront de leur ramener « la liberté et la démocratie ». … suite de l’article sur Autre presse […]