Les Chefs d’Etats et de gouvernements, les patrons d’Institutions internationales et autres acteurs sont réunis jusqu’au 18 Novembre 2022 à Sharm El-Sheikh en Egypte pour discuter de l’état climatique de la planète. Cependant la charge de pollution générée par cette rencontre n’est pas en faveur des objectifs affichés.
Le monde entier est actuellement focalisé sur la ville balnéaire de Sharm El-Sheikh en Egypte où se déroule la « Conference Of Parties » (COP), une rencontre de haut niveau sur les changements climatiques sur la terre. Pendant une semaine, plusieurs délégations étrangères vont séjourner au pays des pharaons afin de prendre des engagements en faveur de la réduction des pollutions qui affectent le climat : intensification de la sécheresse par endroit, recrudescence des inondations par ailleurs, incendies de forêts à grande échelle etc…
La COP 27 n’est évidemment pas la première édition de cette réunion. Difficilement, les puissances industrielles de la planète à l’instar des Etats-Unis et de la Chine, arrivent à s’engager pour une réduction notable de leurs émissions. Il leur est encore plus difficile de respecter à minima les accords que ces puissances acceptent de signer. Pourtant, à chaque COP, leurs délégations sont présentes. Outre la pollution atmosphérique causée par les industries, il faut relever celle liée aux modes de transports modernes c’est-à-dire les avions, les voitures et autres.
C’est ce volet de transport qui pervertit les objectifs des COP. En réalité, ce sont des centaines de Jets privés qui vont assurer le transport des hautes délégations vers Charm el-Cheikh, puis au sein de ladite ville, il y aura un ballet incessant de voitures. Nul doute que les émissions de ces jets privés et ces voitures vont encore considérablement peser dans la balance. Ne serait-il pas plus avantageux pour la planète d’organiser des COP par visioconférence ?
recois Jesus pour etre délivré,. Tu en as besoin, C’est l’essentiel de ce que tu as besoin.